Le vide, un vide calme et paisible, aucune pensé rien, puis cette étrange force, un souvenir lointain et pourtant cruellement précis, l'heure du réveil, le soleil qui se couche et le moment où je devais retourner sur terre. Mes yeux s'ouvrir, en même temps un flot de souvenir, rapidement, une vision globale de ma vie passé, ma vie de vampire, une vision qui s'achève par ma mort, ma mort qui aurait du être définitive alors pourquoi ai-je l'impression que je viens de me réveiller après une journée des plus normal. Ce vent tiède sur mon corps, mes muscles que je sens s’activer à mes pensés, mon bras qui se lève, mes doigts qui bougent. Et cette soif qui me brule la gorge, depuis combien de temps n'ai -je pas bu, moi le vampire millénaire, pour que cette soif soit si douloureuse, à la limite de la torture, cette impérieuse envie de sang.
Un chuchotis se fit entendre de mes oreilles aux aguets, autour de moi, 4 femmes semblaient fières et surprises.
-Nous..
La pauvre elle essayait de s'adresser à moi, mais elle n'en eut pas l'occasion je l'ai attaqué, j'avais bien trop soif, j'étais comme un vampire qui n'avait pas bu depuis des mois, pourtant il me semblait que c'était hier que j'étais mort. Elle ne fut pas la seule à mourir, elles furent toutes tué, ma soif enfin calmé j'essaye de me consacré sur le lieu, une forêt, un temps relativement frais, une odeur de pluie, de la terre, un silence pesant, qui aurait été digne d'un film d'horreur, où l'on verrait un vampire ou un loup-garou apparaître dans très peu de temps. Mais rien ne semblait vouloir faire taire se silence.
Je n'allais pas rester là tout simplement, je ne savais pas qui était ses femmes, mais il fallait que je m'éloigne d'elles, elles étaient peut-être tout un groupe, et peut-être qu'elles étaient dangereuses, un vampire qui ne fait pas attention car il se croit tout puissant de par son âge, sa force et sa vitesse est un idiot! Il existe des êtres tellement plus fort, ou simplement tellement plus nombreux que finalement ils vous engloutissent.
J'avais finit par enterré mais les femmes peu importe qu'elles soient des étrangères, tout le monde méritait un sépulcre. Je les avais débarrassé de leur affaires, je ne suis pas un voleur, mais je ne possédais absolument plus rien, il me fallait un minimum, elles avaient apparemment prévu de m'habiller vu que dans leur sac se trouvait des vêtements à ma taille, j'avais aussi pris les 51 dollars trouvé dans le portefeuille de l'une d'elle, ça devrait suffire pour des bouteilles de sang et un endroit où dormir le temps que je sache où je me suis réveillé cette fois ci.
J' ai ensuite tout simplement empreinte le premier sentier que j'ai pu trouvé en attendant de tomber sur quelqu'un ou une ville, une maison ou un bar...