Il fesait frais ce soir, je me promenais dans les rues de Bon Temps a admirer le rayonnement de la lune sur ma peau. Je me souvenais que je fesais souvent ça quand j'étais humaine. J'avais toujours adoré l'atmosphère de la nuit.

Sans m'en rendre compte je me suis retrouver devant une nouvelle boutique. L'enseinte disait '' Moment Cocasse'' en gros et en plus petit il y avait d'inscrit ' Boutique érotique 24h'.
Je trouvais ça assez drôle je me suis donc décider a rentrer dans la petite boutique.

La boutique était très propre et bien ranger ça sentais un mélange de caouchouc, de latex et de pot pourris. Ce n'étais pas désagréable. Au comptoir, un jeune homme asiatique était accoté, il me semblait qu'il n'étais pas humain, du moins l'odeur de son sang étais très loin d'être appétissante. Le magasin étais divisé en plusieurs partie donc une réservé aux vampires. J'ai ris -intérieurement bien sur - et je m'y suis rendu. Le petit chinoix m'a suivit des yeux pendant tout le long de mon trajet. Je fis comme si de rien n'étais et je me suis mise a regarder les produits: condom a saveur de sang, dildo, fouet, la panoplis du sado maso, ainsi que quelque pièce de lingerie mettant en valeur notre peau pâle, vidéo hard impliquant des vampire,ainsi que plein d'autres effects plus ou moins intéréssant. Je trouvais extrèmement drôle de voir des condoms a saveur de sang puisque nous n'avions pas besoin de condoms, nous n'attrapons jamais de ITS et que nous ne pouvons pas avoir d'enfants. J'en pris qu'en même une boite et alla dans les cabines avec quelques ensembles sexy a essayer.

J'avais déja essayé un soutien-gorge noir avec de la dentelle et une culotte entièrement en dentelle qui donnait l'impression que ma peau était encore plus pâle et qui me rendais incroyablement sexy, lorsque j'entendis des pas se rapprocher de ma cabine. Puis quelqu'un cogné a ma porte.

- Mademoiselle, si vous avez besoin d'aide ou de conseil, vous n'avez qu'a m'appeler, je me nomme Hanzo. dit l'homme que j'imaginait être le caisier un peu étrange.

Une idée me vaint a l'esprit je détacha les lacet de mon corsage pour faire comme si je n'y arrivait pas et sortie de la cabine. Je savais pertinament de quoi j'avais l'air dans ce corset rouge sang en satin et cette petite culotte de la même couleur. J'étais a tombé par terre.

Je mis une moue gèné et innocente sur mon visage et appela le dénommé Hanzo. Il se retourna vers moi et je vis ses yeux s'équarté légèrement. De toute évidence il ne s'attendais pas a ça et ce qu'il voyais ne semblait pas lui déplaire. Je me mordis la lèvre question d'avoir l'air un peu embarrassé et je lui demanda:

- Excuser moi monsieur, pouvez m'aider a lasser mon corsage, s'il vous plait?

Je lui fis de petit yeux timide de cette apparente nudité, mais en dedans j'adorais cela. Je pouvais me montrer drôlement doué pour manipuler les gens sans même avoir besoin d'utiliser mes ''pouvoirs de vampire''. Je le vis faire un pas dans ma dirrection et je me retourna en mettant mes cheveux sur mon épaule laissant mon dos dénudé et mes fesses a sa vue.

- Oui, bien sur dit-il.

Mais sa voix semblait soupsonneuse surment avait-il deviner quelle créature j'étais mais tout de même il fit ce que je lui demanda. Je sentoi ses doigts frôler ma peau comme timide pendant qu'il lassait mon corsage et je lui fis entendre une grande respiration comme si se simple contact me faisait énormément d'effet. Après se qui me parru éxagèrement long pour simplement lasser un corset il s'écarta je me retournai donc vers lui et lui demanda avec une petit sourire mi-aguicheur, mi-timide:

- Qu'en pensez-vous?

Définitivement ça lui faisait beaucoup d'effet du moins a en juger par l'état de son pantalon, mais il sembla se ressaisir puisque son visage devint impassible comme si c'étais ce qu'il y a de plus normale. Un moment passa et il ne repondit pas alors la seule question qui me vaint a l'esprit traversa la barrière de mes lèvres.

- Qui êtes-vous?

Dès que j'eu prononcer ses trois mots je le regrettais. Après tout, je ne savais pas a qui j'avais affaire et encore moins a quoi j'avais affaire peut-être était-il capable de me tuer avant que je ne m'en rend compte. C'était une première pour moi, je veux dire me sentir menacée par une autres espèces que la mienne. Le temps passa et une foule de pensées traversa mon esprit tel, qu'es-ce qui le pousserait a me parler? S'il comptait le faire? S'il allait profiter de ma curiosité slash bêtise contre moi? Ou bien même s'il n'allait que répondre a une de mes deux questions? Puis dans un tout autre ordre d'idées je me demandais si mes pouvoirs marcheraient sur lui ou si comme Sookie il y était imperméable? Bien sûre je savais qu'il n'était pas comme Sookie je le sentais, mais il y avait tout de même quelque chose.

Il fallait absolument que je me calme alors je me suis dis qu'il devrait être l'équivalent d'un lapin pour moi, un lion. Puis il ouvra la bouche et me répondit:
- Je suis Hanzo, je vous l'ai dit tout à l'heure.

Non mais il se moquais de moi il avait parfaitement compris le sens de ma question je le voyais dans ses yeux.

-Qui je suis ou que puis-je être n'est pas la bonne formule. continua-t-il. La vérité serait de savoir ce que je peux faire et ne peux pas faire, ainsi vous saurez ce que je suis et ce que je ne suis pas.

D'accord c'était plausible comme résonnement, mais tout de même après avoir rencontrer une multitude de monstre en tout genre ne pas savoir m'agassais et me terrifiais énormément.

-Vous je sais déjà ce que vous êtes, votre odeur, aussi délicieuse soit-elle grâce a votre parfum, ne vous protège en rien sur votre véritable apparence. Vous trouverez un jour ce que je suis, mais pour vous aidez voici un petit indice, deux crocs font peur, quatre font rire, mais dix font trembler, mais qu'arrive-t-il lorsqu'il y en a vingt ?.

Puis il sourit me soumettant sa dentition et j'eus un mouvement de recul. Tout d'un coup je me sentis vulnérable comem jamais et je détestais ça. Bon le problème c'est que j'ignorais s'il était plus rapide que moi il était en partant plus près de la porte que moi mais s'il se déplacais a vitesse hummaine il n'aurait aucune chance de m'attraper Pendant que je réfléchissais, je gardais les yeux rivé sur lui au moindre mouvement dans ma dirrection je m'enfuirais et si je n'avais pas le choix je devrai me battre, mais cette alternative ne me plaisait pas du tout puisque j'ignorais totalement la fin de se combat et je n'étais décidément pas en très bonne posture pour me battre j'avais certe combatus des gens plus fort que moi mais j'avais renoncé a tout ça en vennant m'oinstaller ici et je souhaitais que je n'ai plus a faire usage de violance le plus longtemps possible.

-Cette tenu vous va très bien mademoiselle, mais si vous chercher plus de confort, je crois qu'une guêpière vous irait mieux avec des bas-nilons, nous avons trois couleur disponible dans la boutique actuellement, blanc, noir et rouge, mais il y en a d'autre disponible via notre site internet ou notre magazine, il est gratuit et disponible au comptoir !

Son ton eu l'effet de me calmer puisque s'il avait l'intension d'en finir immédiatement, il n'aurais pas parler du catalogue.

- Hum en fait j'aimerais bien essayer la noir, mais je garde cet ensemble je l'aime bien. dis-je.

J'avais eu recourt a énormément de sang froid pour opter ce ton normal puisqu'en fait je paniquais litthéralement.

- Ah et auriez vous quelque chose de bleu, ce serait pour une amie elle en a grand besoin? lui demandais-je.

C'était le tmeps de voir s'il allait tenter de m'avoir alros que j'irai me changer dans la cabine, mais aussi de voir s'il était redevenue ce vendeur un peu étrange qu'il semblait être au départ.

Juste avant de me retourner je lui dis:

- Ah et j'ignore quel est vôtre problème avec les vampires, mais je ne suis pas ici pour causé des problème au contraire. Alors, sérieusement je ne cherche pas les ennuis et j'espère que vous comprendrai ça.

Hanzo pouvait voir le malaise de sa cliente, mais il riait intérieurement de comment il avait fait disparaitre le peu de confiance en soi qu'avait cette femme. Elle avait probablement peur, mais ne l,avouerait pas, c'était une femme avant tout et les femmes avaient leur fierté !. il s'éloigna de la jeune femme et partit chercher la guêpière dont il parlait, il n'eut pas a demander les mensurations de la jeune femme puisqu'il les avait deviner en la regardant. Son travail avait certain avantage agréable.

Il prit également une nuisette bleu en satin avec de fine bretelle de la même taille pour sa cliente. Il ne pouvait pas savoir les mensurations de l'amie de la jeune femme, alors il en déduisait qu'elle devait peut-être avoir la même taille qu'elle. Il retourna vers la cabine et présenta les deux types de vêtements a la jeune femme.

-je ne connais pas les goûts de votre amie, alors j'ai crue bon de choisir quelque chose de simple, élégant, qui la mettrait en valeur sans trop en dévoiler.

Il plaça le cintre sur un crochet juste a coté de la porte de la cabine d'essayage puis s'éloigna, mais ce retourna brusquement. Sa voix était très calme, aucune animosité et aucune hostilité sur son visage, il souriait a vrai dire et d'un beau cette fois si, pas avec ses crocs qui lui donnait un air effrayant.

-Si vous auriez été un lycan, un métamorphose ou un lutin vert qui chie des arc-en-ciel cela n'aurait rien changé. je ne déteste pas les vampires ni les autres race, par contre je déteste certain individu non-humain. Voila la différence avec moi, je ne fais pas l'erreur de détesté une race tout entière sous seul prétexte qu'un des leurs a agit de manière disgracieuse et que j'associe cet acte a tout ces semblables. Si vous avez besoin de mon aide a nouveau appuyer sur la sonnette près de la porte.

Il retourna au comptoir, prit sa coupe et en but une gorgé qu'il laissa rouler un moment dans sa bouche avant de l'avaler puis de prendre une magazine playboy pour en lire les articles. Quelqu'un entra dans la boutique, un homme en complet cravate suivit de deux hommes vêtu de la même facon mais avec des lunettes de soleil. L'homme était grand, quelque centimètres de plus que le japonais, élégant, séduisant et raser de près. Il portait dans une main une mallette en cuir qu'il posa sur le comptoir et tout souriant il tendit la main vers Hanzo.

-bonsoir monsieur Hasashi, vous vous souvenez de moi j'espère nous avons discuter ensemble au téléphone il y a deux jours. Nous n'avons pas bien cerner votre réponse suite a notre demande, alors j'ai préféré venir vous voir en personne afin de clarifié certain détail.

-Il n'y a rien a clarifié, répondit sèchement Hanzo sans serrer la main de l'humain, votre campagne d'intimidation ne fonctionnera pas avec moi, encore moins celle de votre pseudo guerre contre les vampires. Vous, vos hommes et votre église ne sont pas les bienvenu ici. Je commerce avec qui je veux, quand je veux et oû je veux. Et si je veux vendre mes produits, peu importe leur nature et utilité, a des vampires ce n'est pas vous qui m'en empêcherai.

-je crains que vous ne saisissiez pas la..

-oh mais j'ai tout saisit et je suis a la limite de ma politesse avec vous monsieur.

Il plongea sa main sous le comptoir et en sortit un bâton de Baseball renforcer part des dizaines d'anneaux en argent.

-vous savez ce qui est bien avec ca monsieur, il fit non de la tête, c'est qu'avec ca je peux éclater le crane d'un vampire sans le moindre effort, donc si l'un d'eux essaie de me raquêter, il s'en prend une solide sur la gueule. Mais le meilleur avec ca, c'est que c'est autant efficace sur les humains !, voulez-vous une démonstration ?.

-...je...nnn..nn..non , je crois que...

- vous allez partir immédiatement et plus jamais vous reviendrais ici pour me parler de vos projets anti-vampire. ceci dit, si vous cherchez a pimenté vos nuit avec votre compagne de lit, vous êtes le bienvenue. Au revoir monsieur et passé une agréable soirée peut importe ou vous irez !.

Ils s'en allèrent sans demander leur reste et Hanzo soupira en rangeant le bâton de Baseball. Il vida sa coupe et la remplit afin de boire deux gorgée de plus. Il avait eut une discutions avec homme il y a quelque jours, au téléphone et il avait vite compris que cette personne fessait partit de la confrérie du soleil. une sorte de groupuscule religieux qui chassait les vampires et fessait des campagnes de propagande contre eux. Enfin c'était l'avis de Hanzo, il n'avait jamais chercher a en savoir plus sur eux, mais a présent ils l'avaient dans leur mire parce qu'il vendait aux vampires. Rien de bien grave a ses yeux, ils ne pouvaient rien contre lui, la boutique et le bâtiments lui appartenaient, tout était a son nom et il n'avait aucun problème financier avec la banque. Mais il avait la certitude qu'il entendrait parler d'eux bientôt.

J'essaiyais la guèpière et la revêtis.En fait, Hanzo avait vu juste, c'était parfait pour moi. Et le petit ensemble blue qu'il m'avait apporter irait bien avec la personnalité de sookie la rendant sexy mais en n'en dévoilant pas trop ce qui la metterais à l'aise même si elle n'était pas du genre timide. je me réhabillais lorsque j'entendis la clochette de la porte retentir et si je me fiait au bruit de pas il devait y avoir trois ou quatre individus, tous humains a l'odeur. Je les entendis entamamer la discution avec le vendeur et la réponse de celui-ci me fis voir rouge. Je laissai mes chose dans la cabine et me faufillait dehors par la porte de secours et heureusement elle ne fit aucun bruit. Je repèrai aisément leurs véhicule et me plaça dans la ruelle juste en face de l'édifice en me concentrant j'ai plus ou moins réussi a lire sur les lèvres d'hanzo mes comme ses soit disant 'homme de dieu' me fesait dos je ne pouvais pas voir leurs expressions faciales.

Les hommes finirent par partir en ayant un peu peur du commencant, je ris. S'ils savaient ils seraient terrorisées encore plus qu'ils le seront dans quelques instants. Ils franchirent la portte et je partis en mode traque. Bon celui du devant devait être le chef se serait donc lui le dernier. Celui de droite serait le plus proche alors a lui en premier, celui de gauche ensuite. Ils étaient maintenant proche du trotoir. Je sortis alors de l'ombre et brissa la jambe du premier se qui l'invalida temporairement, puis je frappa la tête du second contre la voiture le fesant perdre connaissance puis je m'aprochais a pas lent vers la dernier, leur chef, il était penché vers sa malette a la recherche de quelque chose. Je fis glisser la malette loins de l'homme terifié à ma vue. je lui sourie, mais pas d'un de ses sourires amicals non loin de là. Au contraire je voulais que le peur l'immobilise me rendant la tâche incroyablement facile. Puis il eut l'idée stupide de sortir sa croix de son chandail croyant probablement que j'allais m'évanouir dans la nature. Je ris, fesant resortir mes crocs. Puis je franchis les quelques centimètres qui nous séparait et plongea mon regard dans le sien.

- Maintenant tu vas te calmer et tu ne tentera plus jamais de m'attaquer, ni aucun de mes semblables.

Autent en profiter pour en invalidé un.

- Pour qui travaille tu?

- Pour la confrérie du soleil. répondit-il comem un automate.

Je pris deux secondes pour réfléchir.

- Bon tu va transmettre un message pour moi a ton chef, tu lui répétera exactement ces mots: ''Nous nous sommes rendus a la boutique érotique et nous avons menacer le propriétaire comme vous nous l'avez demander. Mais nous avons rencontrer une vampire tout a fait magnifique. Elle nous a dit qu'elle n'acceptera aucunement que vous veniez menacer les marchants qui n'ont absolument rien fait contre l'humanité, ce que vous faites est loin d'être adéquat a votre cause premièrement vous devenez des monstres encore pire que nous, mais en plus vous mettez des problèmes là où il n'y en avait aucun. Alors si elle recroise l'un d'entre nous menacer un humain sur des motifs absurdes, elle renderait l'affaire public. Pensez s'y bien ça pourrait avoir de grande conséquence sur les gens qui adère a votre cause.'' Maintenant tu va prendre le volant de cette voiture et conduire dirrectement à ton QG en t'arrêtant seulement pour manger et dormir.

J'installais les deux autres hommes en arrière de la voiture de sorte qu'ils se débrouille avec eux lorsqu'ils se réveilleront. Le premier devait avoir finis par sombrer. Je fis signe au conducteur de partir et je regardais la voiture s'éloigné puis je rentra par la porte avant, après tout j'étais sur que l'asiatique avait finit par remarquer cette 'communication'. Et vu le regard qu'il me jettait il n'y avait aucun doute.

- Je n'en ai tué aucun si ça vous inquiète. dis-je. Je leur ai simplement fait un peu peur disons.

Je lui sourie gentiment en attendant sa réaction.

Le calme avait repris sa place dans la boutique, ce qui intriguait le japonais au point qu'il fit une petite ronde afin de trouvé sa cliente. Il trouva la cabine vide de sa présence, mais pleine des vêtements qu'elle avait essayer. Il remarqua alors que la porte donnant sur la réserve et la porte de secours était ouverte. Il haussa des épaules et plia soigneusement les vêtements pour en faire une pille avant de ce diriger vers le comptoir. Il croisa alors le regard de la vampire, elle lui souriait et lui dit qu'elle n'avait pas tuer les humains, mais seulement fait naitre un peur supplémentaire en eux.

-Évidement, dit-il en posant la pile de linge, vous ne seriez pas assez sotte pour avouer ouvertement que vous avez tuer des humains et vous ne seriez pas revenu, vous seriez partit quelque part au fin fond des bois ou des marais pour cacher les corps, ceci dit leur existence m'importe peu ou leur mort !.

Il passa devant la caisse, attrapa sa coupe et en but une fine gorgée.

-La prochaine fois, éviter de vous mêlez de mes affaires mademoiselle, je sais que vos intentions était bonne, surement avec une petite touche personnel, mais je suis assez grand pour gérer ce genre de chose...aussi pathétique soit-elle. Ce magasin peu brûler que sa ne me ferait pas un plit, je ne suis pas comme vous, ni comme les humains, mes besoins sont différent et faire des profits n'en fait pas partit, tout ça n'est que pour m'amuser. Mais comme tout animal, j'ai un territoire et je le défendrai comme il se doit !.

Il commença a faire glisser les étiquettes marquer d'un code barre sur la rétine laser tout près de la caisse enregistreuse. Puis il appuya sur les différentes touche du clavier pour additionner le total.

-sa vous ferra soixante et quatorze dollars et dix-sept, vous payez comptant, part débit ou carte de crédit ?. demanda-t-il avec son plus beau sourire.

Il sortit un sac en plastique pourpre marquer du logo de sa boutique et commença a y mettre les vêtements dans la même pile qu'au début. Hanzo n'était pas en colère, pas plus qu'il en voulait a la jeune femme d'avoir interférer dans ses affaires, même si ses affaires étaient terminé depuis que l'homme et ses gorilles avaient quitté sa boutique. Leur mort ne l'aurait pas déranger, mais il ne la leur souhaitait pas pour autant!. Il détestait tuer et s'était juré il y a des centaines d'année qu'il ne tuerait plus jamais de sa vie depuis qu'il avait massacré un groupe de bandit lorsqu'il était jeune et stupide. Il s'était fabriqué un sabre avec ceux de guerrier vaincu dans une bataille et avait tester ses talents de bretteur sur un campement de voleur. Sa première pensé avait été que c'étaient des bandits et leur mort étaient justifiable, il en avait été convaincu. Puis il avait été dégoûté de lui même lorsque la lame de son arme savourait le sang encore frais du dernier humain qu'il avait tuer. Il avait alors scellé son arme et ne l'avait plus jamais dégainé depuis ce jour, encore aujourd'hui il essayait de ce convaincre que c'est homme était des criminels et que leur mort était justifiable, mais a chaque fois qu'il essayait, une question lui remontait tout le temps dans la tête: la méritaient-ils pour autant ?.

-Si vous voulez, vous pouvez rester et essayer de deviner ce que je suis, je dois avoir une ou deux bouteilles de true blood dans la salle des employés. Enfin, si vous avez prévu autre chose ce soir, c'est vous qui décider, dit-il en souriant encore.

La surprise s'afficha sur mon visage je suis certaine parce que j'étais cidéré. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Premièrement de sa réation face au fait que je l'ai aider. Deuxièment le fait qu'il semble se contre ficher de ce qui puisse arriver aux humains et troisièment qu'il m'invite a boire du true blood avec lui.

Je repris quelque peu mes esprits et lui dit:

- Je vais payer par débit et je serai enchanté de boire un verre avec vous, mon chère. Mais je ne désire point vous importunez. Alors si je vous ennuie vous n'avez qu'à le dire et je repasserai un autre jour.

Je n'avais aucunement l'intention de continuer d'ignorer ce qu'il était encore longtemps, mais j'avais appris les bonne manière dans mon jeune temps d'où ma proposition de repasser. Après tout tant que j'étais une cliente respectable, il devait me servir, non?

- Vous savez que vous àvez mis le doigt sur un de mes défaults sans même vous en rendre compte?

Il ne sembla pas comprendre alors je spécifiai:

- Je suis extrèment curieuse. Je me dédis à la connaissance depuis longtemps maintenant. Je veux tout savoir, c'est une grande faiblesse que je dois surveillé. J'ai étudier l'histoire, les sciences et les arts, mais il en reste toujorus plus à apprendre et j'adore ça. Vous devez bien avoir une passion vous, n'es-ce pas?

Alors je me mis à réfléchir, peut-être étais-ce le Karma sutra en entier essayer toutes ses posission et en créer quelques unes aussi. J'avoue que ça ne m'aurait pas déplu de voir a quel point son corp pouvait se contorsionné pour créer de nouvelle sensation. Après tout il avait un jolie derrière. Bon on se sort ce genre d'idée de la tête ça ne mène à rien. Ou peut-être étais-ce de voir toutes ses femmes sous toutes leurs coutures, voir quelques hommes. Qu'es-ce que j'en sais? Alors une questions me traversa l'esprit:

- Vous sembler vous ennuyé et vous dites que tenir ce magasin vous amuse, mais vous devez faire autres choses pour vous amusez. Alors je me demandais ce que ça pourrais bien être. Allez-vous me le dire?

Je ne savais pas trop sur quel pied danser et j'avoue que j'étais perturbé. Il se montrait beaucoup plus distant que moi, mais malgré tout il m'avait sourie. Ce qui ne devait pas être rien quand même, mais totu de même je n'avais pas encore capté exactement à qui j'avais affaire. Bon j'avais réussi à éliminé le fait qu'il allais me donner la mort ultime et qu'il sembla ne pas trop me détesté, je remarquas aussi qu'il ne devait pas trop s'enuyer avec moi sinon il ne m'aurait pas invité à rester, mais tout de même, j'étais certaine de ne pas être au bout de mes surprises avec cette créature mystérieuse. Je crois même que ça le rendait sexy, d'être mystérieux, mais bon revenons a nos moutons...

Elle accepte sa proposition et reste polie dans un même temps. Le japonais sourit, finit de faire la transaction, retire la facture de la caisse enregistreuse, signe ses initial dessus et garde la partie de la facture dont il a besoin avant de donner le reste a la jeune femme. Elle lui parle alors qu'il se retire du comptoir pour aller dans la salle de repos des employer au fond du magasin. C'est une salle simple, des murs blanc sans décorations superflue. Il y a des chaisses pliantes entassé dans un coin et une grande table en bois au pattes en acier au centre de la pièce. Il y a également un coin cuisine comportant un réfrigérateur, un comptoir avec un lavabo et un micro-ondes, une cafetière et une armoire rempli de tasse, de verre et d'assiette. Il y a également des tiroirs contenant les ustensiles de base, fourchette, couteau a beurre et cuillère. Sur une des portes de l'armoire il y avait une consigne disant: laver ce que vous utilisez svp, je suis pas la pour vous torchez !.

Hanzo ouvre le réfrigérateur, il contient uniquement deux bouteilles de True blood, ne sachant pas qu'elle sorte la jeune femme préférait le japonais en prit une au hasard, la décapsula avant de la mettre au micro-ondes deux minutes.

-Le comportement humain me fascine, dit-il sur un ton normal.

Il savait que la vampire pouvait l'entendre clairement a cette distance, alors il n'avait pas besoin de hurler pour se faire entendre.

-j'aime et déteste bien des choses, comme tout le monde. Dormir jusqu’à midi est une de mes activité favorite, fumée un join de temps en temps aussi. J'aime également la compagnie des animaux et eux aussi, j'en ai une dizaine chez moi. Chien, chat, furet, perroquet et j'ai même un faucon.

La boisson était prête, il la prit et de sa main libre il amena avec lui une chaise pliante qu'il installa pour que sa cliente puisse s'installer et boire sa boisson chaude.

-mais j'apprécie particulièrement les combats, j'aime me battre ou m’entraîner, c'est un très bon moyen d'expier toute les frustrations accumulé dans la journée ou toute sa vie ! Ironiquement je déteste tuer, surtout si mon adversaire ma offert un beau combat. En lui enlevant la vie, je me priverai d'un autre combat avec lui ou elle, je l’empêcherais de pouvoir s'améliorer et revenir m'affronter.

Il prit sa coupe et une but une gorgée de vin qu'il laissa rouler dans sa bouche un moment avant de l'avaler.

- et vous , quel est votre record d'orgasme en une journée ?.

Son but était évidement de faire rire cette femme, il ne lui avait pas encore demander son prénom et cela ne semblait pas trop le déranger. La politesse global serait de le lui demander, mais Hanzo pensait plutôt qu'elle le lui dirait un moment donné.

Je levai les yeux de mon breuvage pour appercevoir son expression faciale, elle disait clairement qu'il plaisantait, mais bon voyons voir jusqu'ou il ira...

- Et bien, Je ne compte pas vriament et en 300 ans on établit certain record, mais je crois que le plus nombreux était lorsque j'étais encore humaine je dois avoir dépasser la 20^ène . C'était avec un vampire et ça a durée toute la nuit et tout le jour avant que je ne m'endorme juste incapable de suivre tellement j'étais épuisé. Pendant le jour on avait dû faire ça sous terre alors t'imagine l'état de ma peau avec la sueur et le sang qui la parcouraient. Je me rappelle avoir dormi 18h de suite après ça et ça m'a pris un bon 2h de douche pour démèlé mes cheveux et nettoyer mon corps de fond en comble.
Cette nuit pouvait parraître agréable quand on ignorait que c'était la dernière nuit de ma vie. Bon, plusieurs auraient adoré cette fin je l'accorde, mais pas moi j'aurais voulu plus.

- J'imagine que le tien doit se situé bien au dessus puisque tu ne doit pas craindre ni le soleil ni la nuit, donc rien pour t"empêché d'agir.
Je lui lançai un regard sugjectif.

- On pourrait même esayer de le battre un de ces quatre dis-je avec un sourire en coin. Ou alors tu pourrais m'apprendre a me battre, je n'ai jamais su comment. J'ai toujours compter sur l'effet de surprise ou sur la naiveté des humains pour les atteindre. Mais contre ma propre race je suis totalement inéfficace je l'avoue, je n'auserais même pas tenté de me battre contre un plus jeune que moi de peur qu'il connaisse des technique qui m'échappe totalement.

Il rit ce qui me fis rire moi aussi

- Non mais je suis sérieuse je ne comprend absolument rien aux art de la guerre tout se que je sais faire c'est manipuler les gens ou tendre des pièges mais quand vient le moment d'affronté mon adversaire je n'y réussi pas du tout.continuai-je.

Je repensais a toutes les stratégies que j'avais utilisé au cour du temps, mais mes préféré restais celle de la jeune femme en détresse qui marche sur le bors de la route alors qu'il est minuit passé et celle de la terreur de la ruelle ou j'attirais des personnes dans une ruelle pour que moi et mon créateur puisse se servir de leur essence rougâtre, si délicieuse. Ça me semblait faire des siècle que je n'avais pas joué avec ma nourriture et j'avoue qu'a ce moment je repensai a mon créateur qui me manquai outrageusement. Avec le temps l'amour avec un grand A avait disparus pour laissé place a un amour plus fraternelle, nous étions notre propre famille, un peu particulière certe, mais j'avais encore de la difficulté a envisager le fait que je ne le revèrais plus jamais. Aujourd'hui j'étais seule et j'étais contrainte a laisser mon côté monstre de côté alors fini la traque et bonjour les émotions, quel calvère quand même.

Puis le son de sa voie me sortis de mes pensées et je sourie a sa réponse pour le moins comique.

Spoiler:

Hanzo fut un peu surprit que la jeune femme réponde a sa question, la plupart des gens rétorquaient : allez vous faire f**tre ou ca ne vous regarde pas espèce d'obséder !. Mais la réponse de sa cliente semblait indiquer qu'elle se fichait de lui. Vingt orgasmes d'affilé, il aurait de la difficulté a le croire si sa cliente aurait été une humaine, mais les vampires étaient plus énergique que les humains.

Voila maintenant qu'elle tentait de le déstabilisé part une invitation a battre ce record, puis changeait de sujet pour discuter d'art martiaux !. Hanzo ce demandait subitement si cette femme savait ce qu'elle désirait vraiment ?.

-et pourquoi ne pas faire les deux en même temps ?, il existe dans les arts martiaux des positions qui peut laissé place a l'imagination au niveau sexuel et a ce qui parait, certain voit leur libido grimper énormément en combat singulier!. Et mon record d'orgasmes est de trois, modeste, très peu ou suffisant, c'est celons, mais je ne suis pas une bête de sexe même si je tiens une boutique érotique !

Il sourit, prit une gorgée de vin avant de réalisé qu'il commençait a avoir chaud au joue!. S'il continuait a boire aussi vite, il finirait part avoir la langue délier et dirait tout ce qui lui passerait part la tête ou ferait tout ce qu'il avait envie de faire ou ferait sur un coup de tête. Ce genre de chose n'était pas bon lorsqu'on était une personne comme Hanzo qui est capable d'invoquer des tornades part la manipulations du vent ou de rendre vivant des arbres qui déambuleraient dans les rue comme de grotesque araignée végétal !. Ou provoquer des secousses sismique part les racines des plantes qu'ils auraient fait grossir et grandirent pour atteindre des dimensions qu'une forêt amazonienne ne pourrait égaler avant deux cent siècles !.

-il y a longtemps, dit-il en posant sa coupe sur le comptoir, très longtemps a vrai dire. J'ai volé des sabres a des morts sur un champ de bataille, laquelle était-ce je ne pourrait vous le dire, les conflits entre les humains ne m’intéressait pas a l'époque et encore moins aujourd'hui !. J'ai fait fondre les sabres et avec l'acier je m'en suis fabriquer un, pendant des jours et des jours j'ai marteler le métal chaud pour qu'il soit parfait et dépasser le niveau des maîtres forgerons de l'époque. Je l'ai tellement aiguiser pour qu'elle soit tranchante qu'une mouche c'est poser dessus et c'est fendu en deux a l'instant ou ses minuscules pattes on touché la ligne tranchante !. J'ai sut que j'avait terminer mon oeuvre. j'avais repérer un groupe de bandits des semaines avant et une nuit je les ait défier, j'étais impatient de tester ma lame, de tuer, de voir comment j'étais bon. Dès que mon sabre est sortit, quand j'ai vue la lame déchirer la chair comme si leur peau était fait de beurre, j'ai marqué mon âme a vie de regret. J'ai prit dix vies ce jour là, était-ce juste ou mal, la n'est pas la but de ce récit, mais plutôt en avait-je le droit ou le devoir ?. j'ai privé dix hommes de leur vie, aujourd'hui personne ne s'en préoccuperait, mais a l'époque c'était différent. Cela a été les dix choix les plus inutiles de ma vie et j'en paie chaque jour le prix.

Il resta silencieux quelque seconde, fixant le reste de vin dans sa coupe avant de continuer a parlé.

-j'ai sceller mon sabre le lendemain avec une lanière de cuir. Une série de noeud complexe qui enroule le fourreau et la garde. Puis je me suit instruit au arts martiaux de corps a corps, avec pour but de blesser, mais pas de tuer, je me suis juré de ne plus tuer quiconque, même le pire des criminels. Sans ce voeux, j'aurais massacrer sans hésitation les trois hommes venu me voir tout a l'heure et leur église aussi. Je peux vous apprendre les base, mais je vous préviens on apprend pas a faire des high kick en cinq minutes. Cela prend du temps, de la volonté et du courage, vous avez assurément les trois en vous, mais on-t-il le même niveau ? ce sera a vous de découvrir ça !

Il sourit avant d'ajouter.

-et pour les stratégie de guerre, laissé ca de coté. Nous sommes plus au moyen age, aujourd'hui pour détruire quelqu'un moralement on ne ce sert pas de la privation de ravitaillement, d'eau ou de médicaments..mais de facebook, youtube et twitter !.

Puis il se mit a rire avant de siroter une gorgée de vin en regardant la belle blonde !.

Spoiler:

Sa dernière remarque me fis rire aussi. Ça me donnais l'impression que l'être humain avait régressé avec le temps avec le meilleur moyen de l'atteindre était de s'en prendre a ses besoin vitaux comme manger, boire et dormir. Aujourd'hui, c'étais leur cyber-vie qui comptait beaucoup alors que deux petites phrases bien placer sur ton wall facebook pouvait t'atteindre aisément et publique ce qui était, semblait-il, une catastrophe.

- J'adore ton idée, après tout, j'adore explorer des nouveaux horrizons. Et il n'y a aucun doute que c'est ce que tu es, pour moi du moins. Mais il y a une chose, es-ce que ton sang est une arme contre moi, car j'avoue que lorsque je suis au bord du gouffre je ne peux pas m'empêcher de mordre peu importe si j'en avais l'intension au départ ou non. Je me rappelle même d'une fois ou j'étais avec un humain qui ne désirait pas se faire mordre et ça a été plus fort que moi j'ai réalisé lorsque je l'ai lâcher vois-tu. Parcontre je ne tue pas sauf si je le désire, bien sur. Ce n'est pas dangereux pour t... Un éclair me traversa l'esprit. Mais peut-être l'est-ce pour toi ? Le sais-tu? Je ne voudrais pas mettre ta vie en danger après tout tu ne le mérite pas.

Je ne pensais que très rarement au danger auquel les autres s'exposaient avec moi proche d'eux, mais je me disais que je ne ferai rien qui puisse leur nuir.

- Dans un tout autre ordre d'idée, je trouve ton histoire triste et encore aujourd'hui ça me touche de voir quelqu'un se préoccuper de la vie humaine. C'est élas contraire a se qu'on m'a apprit toute ma vie, même dans la première. Mes parents m'aimaient, mais ne se souciaient guère d'autrui si l'on se mettaient dans leur chemin ils s'arrangeaient pour qu'il disparaissent. Et mon créateur n'avait guère une meilleure opinion des humains. J'ai tuer des villages entiers et je comprend que c'est terrible, mais je ne ressent pas de ... J'hésitai sur le mot exacte. Compassion ou plutôt de culpabilité. J'ignore exactement ce que s'est. Pourtant je ressent toutes les autres émotions, la joie, la peine, la peur, la confiance, ... mais pas celles-la, j'ignore pourquoi.

Je bus une gorgé de mon breuvage maintenant a moitier et tenta de trouver un peu de bonheur a savouré le goût du sang, même s'il était bien au dessous de ce don j'étais habitué, c'était peine perdu puisque seulement 25 % du délice de savouré du sang venait de son goût et même encore 25% c'est généreux. Il y a un 50 % qui vient du fait de se nourir a la source et le dernier 25% a la manière de l'obetenir. Alors ici, il n'y a vait que le quart de mon desir pour ce liquide ambré qui était assouvit.

Je ne pensais plus qu'a une chose, chasser. Rencontrer quelqu'un dans un coin de rue, lui faire intensément peur, et le mordre dans le coup la ou le flux était le meilleur; la jugulaire. Un sourire se déssina sur mon visage. J'étais encore plongé dans mes songes sanglants lorsque le son de la voix d'Hanzo me ramenna a l'ordre, me rappellant mes promesses.

Hanzo sourit un peu plus, a la fois amuser et un peu gêner part les question de la vampire. Il la trouvait un peu plus intéressante qu'au début et les questions qu'elle posait démontrait son désir de savoir ce qu'il était. Il avait crut au début de leur conversation au comptoir qu'elle avait abandonner. Mais apparemment, il s'était tromper ou alors elle avait oublié et avait demander si son sang était dangereux pour elle ou que la morsure d'un vampire l'était pour lui !

-Mon sang n'est pas toxique pour les vampires, mais il reste très amer en bouche. Il a un très mauvais gout, au point de faire vomir la personne qui l'ingère. Une jeune vampire un peu bizarre en a fait la désagréable expérience dans un bar il y a plusieurs mois. C'était dans un bar a vampire, deux types la harcelait pour devenir vampire et j'ai voulut m'interposer avant que sa dégénère et elle m'a frapper accidentellement, un direct au menton. Une bagarre s'en est suivit et dans la mêler elle ma mordu. Et apparemment, la morsure de vampire n'est pas toxique pour moi. Alors vous pourrez mordre autant vous voudrez, mais ne buvez pas mon sang. Je ne sais pas pourquoi mon sang est amer, peut-être est-ce de naissance ou qu'avec l'âge il produit une toxine qui se mélange a mon sang pour que je soit prêt a quelque chose qui m'arrivera dans l'avenir. Ce que je sait par contre, c'est que c'est l'unique chose de moi qui est mauvaise pour vous !

Il finit sa coupe de vin avec un léger sourire lorsque la jeune femme parla du regret inexistant qu'elle avait lorsqu'elle tuait quelqu'un. Hanzo avait bien vut la différente entre elle, une vampire, et lui, un kitsune. Deux espèces vivantes sur terre physiquement identique, hormis qu'il était un homme et elle une femme, mais biologiquement différent et également au niveau de la pensé.

-c'est simple a expliquer, dit-il en déplaçant sa chaise pour être a coté d'elle, Vous, moi, les humains sommes tous des animaux, nous sommes plus évoluer évidement. Mais on reste des animaux pour autant. Les plantes sont vivantes, mais la brebis ne s'en souci pas lorsqu'elle broute, ni le loup ne ce souci de la vie de la brebis lorsqu'il va s'en nourrir. C'est pareil pour vous, vous n'avez pas de regret a tuer un humain, un inconnu, parce qu'il est votre repas. Moi j'en ai du regret parce que je n'ai pas nécessairement besoin des humains vivre normalement. On a dut regret seulement lorsqu'on sait que ce que l'on a fait a quelqu'un était inutile et cruel.

Sa main glissa le long du poignet de la jeune femme pour se saisir de la main de cette dernière. Elle était froide au toucher, mais pleine de vie pour autant ! Un des effets naturels des vampires. La sienne était chaude, douce, mais ferme. Il souleva la main de la jeune femme, pour être sur d'avoir son attention et la fixa droit dans les yeux, sans avoir peur d'être hypnotiser puisqu'il avait une légère résistance a ça, tout comme les kitsune et les créatures non-humaines sur terre.

-Mais ne pas avoir de regret ne fait pas de vous une mauvaise personne ! Enlevez vous ca de la tête, peut importe ce que dirons les autres, a la télé, a la radio ou sur l'internet. On est un monstre que lorsqu'on décide de le devenir, on ne le devient pas de naissance !.

Même si j'avouais que son raisonnement était logique, je ne pouvais me résonné et lui donner complêtement raison, mais sa pensé me rapellait ce qu'un professeur de philosophie avait dit pendant l'un des cours du soir que j'avais pris : «La moralité de l'homme est drrectement lier a son État et ses valeurs de sorte que tout ce qui nous choque ou ce que l'on trouve immorale n'est en fait qu'un produit de notre éducation. Part exemple, un canibal, issu d'une famille de canibal ayant grandis en marge de la société, ne voit rien de mal dans le fait de tuer un humain et le manger.» J'avais souvetn repensé à ce qu'il avait dit, mais j'avais déjà assister à un vampire pleurant sur la dépouille de sa proie. Alors je me disais que ce n'étais pas a cause de ma condition que j'étais ainsi, mais bien pour une toute autre raison d'ordre psychologique.

Lorsque sa main entra en contact avec ma peau un sentiment étrange m'envahis. Sa main était chaude preuve qu'il avait un semblant de sang humain qui circulait sous sa peau. Son contact était doux mais beaucoup plus solide qu'un humain ce qui était très agréable. Je déteste les mains molles et lorsqu'elles sont moites c'est encore pire. je levai les yeux en même temps qu'il souleva ma main et plongea dans les siens.

-Mais ne pas avoir de regret ne fait pas de vous une mauvaise personne ! Enlevez vous ca de la tête, peut importe ce que dirons les autres, a la télé, a la radio ou sur l'internet. On est un monstre que lorsqu'on décide de le devenir, on ne le devient pas de naissance !.
Ses paroles me réconfortaient. Ses yeux me fascinait, ils étaient brun proche du noir, mais si l'on regardait bien quelque chose de magique se cachait tout au fond. Ce simple contact reveillait en moi un sentiment que j'avais oublié depuis très longtemps: l'insécurité. J'avais envie de me sentir protéger dans ses bras, mais je ne le connaissais que trop peu pour laissé libre cours à cette impulsion. Je décidai donc de coupé court a mes pensées.

- Merci beaucoup pour ces paroles, elles font du bien à attendre. Mais si vous le voulez bien j'aurai quelques questions pour le moins indiscrètes alors j'aimerais avoir votre autorisation pour les posez. Bien sûr, vous aurez le droit de ne pas répondre si celles-ci vous met mal à l'aise. Je me demande, par exemple, d'où venez vous? Si je puis me permettre vous connaissez ma plus grande faiblesse et bien d'autres plus insignifiante, mais je ne connais au peu près rien de vous et je dois avoué que vous m'intriguez.

Le kitsune tenait toujours la main de la jeune femme, elle était froide, mais douce et très agréable a toucher. Le regard du kitsune fixait celui de la vampire et pendant un bref instant il crut y voir quelque chose de différent, une sorte d'invitation ou une demande qu'elle n'osait formuler part les mots. Mais a peine tentait-il de comprendre ce message que le lien visuel fut rompu, laissant le japonais dans l’incertitude presque total ! Il remarqua alors que le lien physique était toujours présent, leurs mains restait l'une contre l'autre comme souder ensemble, mais il savait qu'il avait juste a relâcher son étreinte pour briser ce lien. Il n'en avait pas envie, mais il le fit quand même, mais avec lenteur histoire de ne pas brusquer la jeune femme.

Elle lui demandais d'ou il venait, mais également qu'il n'était pas obliger de répondre a la question. Il sourit doucement, préparant sa réponse dans sa tête, puis se leva pour aller refermer sa bouteille de vin qu'il rangea dans le sac en plastique avec la coupe qu'il nettoya avec un mouchoir en tissu avant de la ranger également. Il se retourna et s'adossa contre le comptoir, les coudes bien appuller dessus.

-comme tout mamifère sur terre, je viens du ventre de ma mère et j'ai été expulser en passant part son vagin !.

C'était tout Hanzo, jouer sur le mot et les questions. La plupart des kitsunes étaient un peu comme lui en vieillissant, jouer des tours aux humains pour s,amuser, les éduquer ou les punir. Il rit, mais inclina la tête sur le coté avant d'ajouter d'une voix douce et calme.

-je viens du japon, né sur l'ile de Kyushu, dans la région de Tohoku sur la préfecture d'akita en l'an 246. Alors vue mon age, peu de chose ou de question peuvent me choquer ou me mettre mal a l'aise. Poser vos questions sans gène, je n'ai rien a cacher.

Des clients entrèrent dans la boutique en riant fortement et se déplaçant avec une maladresse incroyable. Ils étaient deux, un homme et une femme, de jeune adulte et arrivant d'une fête apparemment. Le couple se déplacèrent entre les allé en ce tripotant et riant pour finir part s'embrasser bestialement au fond de la boutique. Hanzo ne fit rien en les voyant arriver avec quelque produits comprenant un tube de lubrifiant, des préservatifs a sa veur de fruit, deux paires de menottes recouvert d'une protection en tissu doux pour éviter des blessures aux poignets ou aux chevilles et des tubes d'huiles a massages.

-ce sera tout ?, demanda Hanzo en passant les codes barres des produits sous le réticule rouge du scanner avec un léger sourire.

-ouais, répondit la damoiselle sur un ton enthousiasme en sautillant un peu sur place alors que son copain regardait les différents dvd disponible au comptoir.

-vous payez part débit, carte de crédit ou argent comptant ?.

-carte de crédit.

La transaction terminer, Hanzo les interpella une dernière fois avant de leur remettre leurs achat dans un sac en plastique de la même couleur que celui de Florence.

-avez-vous but ce soir ?

-possible, répondit d'un ton sec l'homme, en quoi sa t'regarde ?.

-Voulez vous que je vous appelle un taxi pour rentrer chez vous ?.

-pas besoin mec, j'ai ma voiture, déclara l'homme sur un ton fier.

-alors c'est la police que j'appellerais

La fierté du client se mua en un début de colère, peut-être encourager part les effets de l'alcool, et il semblait défier du regard le japonais qui restait de glace.

-Conduire en état d’ébriété est un délit majeur qui met en danger votre vie, celle de votre copine et celle des autres automobiliste ainsi que des piétons. Alors laissez vos clefs ici avec vos coordonnés, je vous appel un taxi et vous récupérer votre voiture demain dans l'état exact où il se trouve actuellement. Personne est blesser, ni tuer et vous pourrez faire votre petite fête personnel avec votre copine monsieur !

L'homme semblait hésiter entre insulter Hanzo ou lui donner raison, mais sa copine qui semblait être plus lucide que lui le ramena a la raison en lui murmurant quelque chose a l'oreille. Le jeune adulte hocha de la tête et laissa ses clefs avec son permis de conduire sur le comptoir tandis que Hanzo contactait le service de taxi de la ville. Quinze minutes plus tard le couple était partit. Le japonais prit les clefs et le permis de conduite pour les placer sous le comptoir avec une petite note a son employé qui viendrait le remplacer dans cinq heures que l'individu viendrait chercher sa voiture dans la journée.

J'écoutai l'interlude qui avait lieu sous mes yeux et lorsque la jeune chuchotta cela me fis rire comme si elle pouvait nous cachez ce qu'elle avait a dire a son partenaire un peu bête. Hanzo leur fit entendre raison et appella un taxi. Ils quittèrent la boutiqueau bout d'une quinzène de minutes qui furent particulièrement illarante. Je me rapprochai de la jeune fille d'une façon si évidente qu'elle le remarqua a coup sur. J'entendis son coeur battre plus rapidement et elle me fixait. Je me raprochais encore et pris un air ébété. Puis je tendis la main tranquillement vers elle, centimètre par centimètre et à mesure que mes doigts se rapprochaient de son épaule, elle stressait intensément puis je fis un ultime pas et fis parcourir ma main sur la peau dénudé de son dos. Chaque partis que je toucha laissais sur sa peau un sillon de chair de poule. Je décendis jusqu'à ce que mes doigts rencontre son chandail puis je rentra son étiquette à l'intéreur de son haut et lui dis:

- Je suis vraiment désolé, mais il me dérangait à un point vous n'imaginez même pas. Vous avez une peau très soyeuse d'ailleurs agréable au touché.

Elle bredouilla un merci.Puis je lui fis un sourire qui au lieu de la rassuré la fit tréssahir. Tout le reste du temps de leurs attente les deux me fixaient de peur que je ne leur saute aux cous, ce qui m'amusa encore plus. Puis lorsqu'ils entendrent le taxi arrivé ils s'éclispsèrent assez rapidement. Puis je me suis retourné vers le japonais et le vis prendre les clefs et le permis de conduire et commencer a griffoné sur un bout de papier. Je me permis donc un commentaire histoire de rire un peu:

- Oups, il semblerait que je sois à découvert.

Je ris et lui aussi pendant qu'il plaçait le tout sous le comptoir.

- J'avoue qu'au début je les trouvais assez mignon avec leur insousiance, mais lorsqu'il a eu du mal a connecter les deux bouts et qu'elle a dut lui faire comprendre ce qu'il manquait, là j'ai vraiment trouvé la situation cocasse. L'insousiance est vraiment une émotion que j'adore. J'avoue avoir un peu profité de leurs états d'ailleurs. Toute la terreur qu'ils avaient pour absolument rien ça m'a fait éclaté de rire, intérieurement bien sûr.

Étrangement, je me sentais d'humeur joyeuse maintenant et j'avais le sourire aux lèvres. Au diable les mauvaix souvenirs et les moments de grandes réflexion j'avais envie d'un sujet plus léger.

- Pour en revenir à notre sujet, je trouve impressionnant de connaître votre âge en fait. j'admire autent d'année de vie. C'est fou, mais vous êtes plus âgé que l'année de ma naissance! Sinon racontez-moi un moment heureux de vôtre vie comme un souvenir d'enfance ou un moment où vous vous êtes sentis simplement bien.

Après tant d'année sa mémoire devait regorgée d'histoires à raconter, un peu comme les humains considéraient leurs ainées pour leur grande source de savoir et d'anecdotes.Alors imaginé près de 2000 ans d'existance. On doit pouvoir passé des années à raconter sans jamais rien faire d'autre et ne jamais compter la même histoire.

Je décidai de m'assoir sur le comptoit pour l'écouter puisque j'en avait marre d'être debout alors autent se mettre à l'aise.

(bonne lecture :P)
Pendant la quinzaine de minutes durant lequel les deux amoureux influencer sous l'effet de l'alcool attendait patiemment le taxi, Hanzo les surveillait du coin de l'oeil pour ne pas qu'ils aient l'envie de faire des bêtises. Lorsque Florence entra en scène, hypnotisant ou intimidant la jeune femme au point qu'elle n'osait plus bouger d'un pouce, le kitsune ne fut pas inquiet de leur sort un seul instant. Il savait que la vampire ne ferait pas d'acte stupide comme sauter a la gorge de la jeune femme pour se nourrir, sachant pertinemment qu'elle devrait essuyer le courroux du kitsune. Certes Hanzo s'était juré de ne plus tuer d'humain, mais la belle blonde n'était plus humaine au yeux de la loi et de certain groupe ultra-religieux ou sectaire. malgré tout il se surprit a ressentir une très faible pointe de jalousie lorsque la main de la vampire glissait le long du dos de la cliente, mais qui fut vite remplacé part l’excitation du geste. Excitation qui pouvait être visible au niveau de sa taille, mais heureusement caché part le comptoir qui lui arrivait au niveau du nombril ! Et l'espace d'un instant il s'était remémorer la belle blonde en tenue légère, la même tenu qu'elle portait en sortant de la cabine d'essayage pour la première fois. Il eu très mal sur le coup et du rassembler tout les morceau de son esprit pour ramener un semblant de lucidité dans sa tête et effacer toute ses pensé holé holé, un grand défi pour lui vue l'endroit ou il se trouvait en se moment !.

Hanzo rit de la blague de la jeune femme. Il hocha de la tête en souriant, il comprenait bien ce que voulait dire Florence, lui aussi pars le passé il avait profité de la naïveté des hommes et des femmes pour leurs faire peur pour diverse raisons et souvent avec un minuscule effet de surprise. La demande de Florence le surprit un peu, rarement on lui avait demander de raconté une anecdote de ce genre. Il en avait des tas, certain touchant, d'autre banal et certain incroyable ou étrange. Il s'assit sur sa chaise après l'avoir retourner pour avoir ses bras appuyer sur le dossier et commenca son récit.

-Durant l'hiver, en l'an 445-46 environ, j'ai toujours aimé l'hiver, des chutes de flocons et le froid. J'étais jeune, inexpérimenté et je découvrait le monde encore. Une tempête s'est soudainement lever, je voyais a peine ou je marchais, chaque son autre que le vent me forçait a me retourner de peur d'être attaquer part un animal sauvage ou des brigands. Je savais me défendre, mais pas aussi bien qu'aujourd'hui. Je marche sans cesse, la neige m'arrive jusqu'au genou, j'ai froid, j'ai faim et j'ai juste envie de dormir, me reposer, mais mon père m'a toujours dit de ne jamais faire ça durant une tempête de neige. Hors je cherchais un abris et je l'ai trouver, une vieille maison que je croyais abandonné, mais devant l'entré il y avait encore des traces fraîches, quelqu'un était a l'intérieur.

Il continua son histoire et pendant qu'il racontait, les souvenirs revenait dans son esprit, aussi clair et net que ceux d'hier. Il avait parler devant la porte, demandant s'il y avait quelqu'un, aucun réponse ne vint . Décider a ne pas mourrir de froid, il avait fait glisser la porte et était entré. A l'intérieur il trouva une femme, a genou et lui tournant le dos. Elle tremblait, autant part le froid que part la peur et quand il était entré dans la maison elle s'était immédiatement retourner pour se lever d'un bond en brandissant une dague. Elle avait le visage très pale, une peau très propre et des cheveux noir tellement long qu'il touchait le sol. Elle semblait sur le point de foncer sur Hanzo, mais ce dernier n'avait rien fait de menacant pour le moment et elle hésitait sur le coup. Il lui expliqua chaque chose qu'il allait faire, comme retirer son sabre et le poser contre le mur a coté de la porte, puis allumer un feu pour réchauffer la pièce. Il lui avait dit qu'il ne lui ferait pas de mal, aussitôt elle avait hurler '' les autres hommes ont aussi dit ca, ils m'ont tout prit, même mon honneur''.

-Je lui ai offert a manger, de la viande séché avec du riz. Elle était pauvre et quand je lui ai proposé de manger, elle s'est moqué de moi en riant. A l'époque, seul les nobles et les maisons de bonne naissance, les riches en somme, pouvaient mangé du riz, les pauvres devait mangé autre chose. Parfois il arrivait qu'ils en mangent, mais une fois part année ou aux deux ans. J'ai ignoré ses rire et j'ai sortit un chaudron de mes affaires, je l'ai remplit de neige. Quand j'ai sortit le riz de mon sac, elle m'a regarder avec un tel surprise qu'elle s'est mit a pleurer. Plus tard, quand elle a finit de manger, elle m'a tout raconter ses malheurs. orpheline, elle mendiait pour manger dans un petit village qui tolérait sa présence. Battu, traité comme une merde, humilié, elle a vite finit part craindre les hommes en général. Quand elle est devenu plus grande, un homme a fait croire a un maquereau que s'était sa fille et la vendue. Elle a été traîné de force dans une maison de passe ou elle dut faire plaisir aux hommes pour gagner sa vie. Elle s'est enfuie et s'est installé dans la maison ou je l'avais trouvé, la rumeurs disait que les bois étaient hanté part des esprits, des tengu et autres créatures dangereuses. Elle a alors fait croire qu'elle était une sorcière, pour être sur que personne ne vienne la déranger, lui faire du mal. J'ai vécu avec elle trente cinq ans. Ce fut la seule a qui j'ai dit ce que j'étais vraiment.

La première fut la plus difficile pour Hanzo, surtout durant l'hiver car, Saya, n'avait plus rien. Aucun outil, ni bol, ni tasse, ni semence pour son jardin. Et il y avait plusieurs chose a faire dans la maison, comme réparer l'énorme trou dans le toit. Il dut utiliser les branches d'un arbres pour couvrir temporairement le trou afin d'empêche la neige d'entrer. Puis couper du bois pour chauffer la maison durant tout l'hiver. Saya lui avait fait la confidence pendant qu'il coupait du bois avec une pierre tranchante, que s'il n'était pas entré elle s'aurait suicidé. Elle avait même tout préparé, elle s'était lavé afin de purifié son corps et son âme des impureté du monde des mortels, puis avec une dague qu'elle avait caché elle allait s'ouvrir le ventre. Quand la pointe de la lame allait percer sa peau, Hanzo était entré. Elle avait crut au début que c'était l'un des brigands qui l'avait violé avant de tout lui volé qui était revenu pour l'humilié a nouveau ou peut-être la tuer ou l’emmener avec elle pour servir d’exutoire pour ses compagnons !.

-Elle m’appelais souvent, porte-bonheur. Parce que j'ai changer sa vie, j'usait de mes talents pour provoquer des surplus de nourriture dans son jardin, que j'allais vendre avec elle au village voisin. A la fin de l'année j'avais fini de rénové sa maison, j'avais coupé du bois pour trois ans et construit un cabanon ou l'entreposé. Je lui avait également apprit quelque technique d'auto-défense, chose impensable a l'époque parce que le combat, la guerre, se battre, etc, était une affaire d'homme, réserver qu'au homme. J'avais la même pensé a l'époque, mais je savais aussi que je pourrait pas toujours être avec elle 24h sur 24, je lui alors apprit comment se défendre et la première fois que je lui ait de mettre en pratique la prise que je lui avait enseigné, j'ai fais l'erreur de lui dire d'imaginer un des hommes qui lui avait fait du tord. j'ai jamais voler aussi rapidement de toute ma vie, ni été aussi proche de mourir quand j'ai vue sa dague foncé vers ma gorge. J'ai juste eut le temps de bloquer son bras que la pointe de la lame frôlait ma pomme d’Adam.

Plus tard, ils étaient assez riche qu'ils avaient acheté tout plein d'outil et remplacé la vaisselle volé, ainsi de de nouveau vêtements. C'est durant cette nuit, a leur retour, que Saya s'est offert a lui, il n'avait jamais tenté de la dominer durant l'année, juste de l'aider. Mais Saya se sentait redevable envers lui et avait finit part tombé amoureuse de lui, chose réciproque, mais Hanzo n'avait jamais connu de femme, de manière intime. C'est a la fin de leur ébat, lorsqu'elle dormait a coté de lui, sa tête reposant sur son torse et ses bras l’enlaçait comme un trésor qu'elle voulait être sur de retrouver le lendemain a son réveil, qu'il réalisa qu'il était bien, heureux dans cette situation et qu'il appréciait plus le contact d'une femme contre lui que l'acte en soit.

-Je lui a fait trois enfants, deux garçons et une fille, aucun d'eux fut comme moi ou même a moitié, mais ils avaient quand même hérité de mon intelligence ce qui n'est pas rien. Kotaro est devenu maître d'armes pour le seigneur local, Kanbei est devenu tenancier d'un restaurant.

Il marqua une pause, hésitant a dire le destin qu'a connu sa fille. Ce n'était pas joyeux, puisque la mâchoire du jeune homme hésitait a s'ouvrir et ses yeux semblait vide, comme s'il vivait ce moment. Il ferma les yeux, prit une grande respiration avant de finalement parler.

-Sakura est décédé, a l'age de huit ans, dans un glissement de terrain. Elle jouait souvent près d'une petite colline avec le petit chien que je lui avait acheter. La pluie avait érodé une portion du sol rocheux et le faible poids de Sakura a suffit pour faire un effet boule de neige. Quand je l'ai trouvé, son chien n'avait cesser de jappé...elle était morte. Sa mort est injuste, aussi jeune, mais aussi grande ma peine et la douleur que j'ai ressentit quand j'ai extirper son corps du sol, jamais elle surpassera la joie et le bonheur que j'ai eut a la voir grandir, sourire et rire quand je jouait avec elle. Elle était si pure, aucune méchanceté, aucune malice, elle n'avait peur de rien, pas même des petites bestioles. Elle arrivait souvent avec un cadeau pour moi ou ma femme, une grenouille, un rat, un lapin ou même une araignée. Saya avait de la misère a croire qu'a aucun moment les animaux qu'elle ramenait ne s'était pas défendu. Elle en avait assez qu'elle rapporte ses petits amis a la maison et m'obligea a lui acheté un chien. Quand je lui ai présenté le chiot, le sourire qui a illuminer son visage et ses yeux qui brillait de joie valait tout l'or du monde. Ils étaient inséparable, si on voyait l'un d'eux l'autre n'était pas loin.

Il se mit a rire, puis regardant la belle blonde.

-a vous maintenant, raconter moi une anecdote qui vous a rendu heureuse !.

Au début de son histoire je n'étais pas sur qu'elle état heureuse mais en fin de compte elle l'était Puis il me demanda de raconter a mon tour. Alors je réfléchis quelques secondes pour décidé laquelle lui raconter puis commenca:

- Cette histoire ce déroule alors que j'avais 7 ans. Ma petite soeur et moi étions extrèmement différente et je dois avouer que les enguelade étaient chose fréquente entre nous deux mais une journée que mon père était partis à la ville checher le médecin pour ma mère malade, je dus m'occuper de ma soeur, ainsi qu'apporter a manger à ma mère.

Lorsque mon père m'a annoncé la nouvelle j'étais tout à fait contre l'idée, mais bien sur j'ai dis que ça allait aller comme la bonne pette fille que j'étais alors.
Nous dîmes au revoir a notre père pui j'alla m'assurer que mère avait tout ce qu'elle désirait avant de partr dans les bois avec ma soeur.

Ma soeur adorait grimpé aux arbres et parfois je la suivait pour admiré la vue. Notre mère nous l'avait pourtant formellement interdis question de rester en sécurité. De plus, elle disait que ce n'étais pas des activités féminines qu'à la place nous devrions cuillir des fleurs ou coudre, mais toutes deux trouvions ces activités ennuyante bien sur j'ai appris a tenir une maison, mais je consacraits mes temps lbre à la lecture plutôt qu'au perfectionnement des tâches ménagères. Apprendre est une chose passionnante pour moi je voulais tout connaître du monde qui m'entourait à l'époque, comment fabriquer ceci ou celà, comment fonctionne les objets dont nous nous servions tous les jours, mais se qui me passionnait le plus était ces ouvrages de philosophies encore aujourd'hui mon livre préféré est l'utopie de Thomas More.

Pendant que ma soeur grimpait à l'arbre sa robe est resté coincé sur une des branches, mais elle ne s'en est pas rendue compte tout de suite elle a continuer a monter quelque peu ce qui causa un trou dans le centre de sa jupe. aors qu'elle tentait de le déprendre elle donna un coup trop fort qui la fis basculer de l'arbre la projectant tête en bas. Grâce au trou dans sa jupe elle ne tomba pas d'un coup. Sa robe déchira lentment au début puis de plus en plus vite jusqu'à ce que sa robe soit en lambeaux. heureusement je me situais proche d'elle lorsque ça arriva elle tenta de s'accrocher a une branche mes ses doigts glissèrentpuis elle chuta droit sur moi. J'amortis sa chute, somme toute. Nous nous en sortîmes toutes deux indemnes, mais la robe était complètment déchiré.

Ma soeur était terrorisé à l'idée que notre mère apprenne ce que l'on faisait lorsque nous allions dans les bois alors elle me supplia de rappécé sa robe pour qu'il n'y parraisse pas. J'étais une bien meilleure couturière grâce a mes quelques années de plus d'expérience. Je me rappelle l'avoir fait marché un peu avant d'accepter. Alors je m'occupais de la robe et elle de la soupe. Je réussis à faire un assez bon travaille en rajoutant des bandes de tissus sur la longueur tout autour de la robe ça l'embellissait et ça cachait parfaitement notre erreur. Ma soeur, par contre eut plus de difficulté avec le repas. La pluspart de nos légume n'étaient pas assez mûre vu le temps de l'année et ma soeur ne savait que faire de la soupe aux légumes. Alors j'alla chercher des oeufs et de la farine avec quoi je fis des pâtes dans un bouillon avec des navet et des carottes. Je détestait ce repas mais au moins ça aiderait notre mère à guérir.

Aussi incroyable que ça puisse parraître nos parents n'ont rien remarquer d'anormal dans notre comportement et moi et ma soeur, nous sommes réellement rapprocher grâce à ça on avait notre petit secret.

Cette histoire me rapplait le début de notre réelle relation entre moi et ma soeur ensuite les moments de compliciter c'était fait plus nombreux... jusqu'à sa mort...

-Sinon, avez-vous de la famille proche toujours en vie? lui demandai-je.

Hanzo écouta l'histoire de sa cliente et rit de leurs mésaventures. Cela lui rappela quelque évènement et activité qu'il fessait avec ses frères et soeurs. Ils étaient a l’abri des humains en pleine expansion ou en guerre, protégé part les pouvoirs des adultes du villages. Des huttes bâtit a la cime des arbres et relier entre elle part des pont de bois. Lui et ses frères s'amusaient a grimper aux arbres, chasser de petit animaux comme des lièvres, des écureuils ou des oiseaux. Parfois ils se battaient entre eux, a coup de poing ou et de bâton...des trucs de garçon en gros et en grandissant cella ne s'est pas améliorer. Ils avaient continuer leurs jeux, mais en y ajoutant l'espionnage des filles entrain de ce baigner dans les sources thermique !.

-Mes parents sont morts il y a longtemps, mon père n'était pas un homme facile a cerner ou a satisfaire. Il exigeait toujours plus de nous, jamais il ne nous encourageais ou nous félicitais dans nos travaux. Pour lui ne rien faire c'était échouer en permanence. Mais je sais qu'il nous aimais, sinon il aurait ajouté a son attitude celle d'un lâche qui nous bats pour un oui ou un non. Jamais il a lever la main sur moi, ni sur mes frères et soeurs et encore moins sur ma mère ! Ma mère était une femme douce et aimante, très patiente et qui acceptait les gens comme ils étaient, sans hypocrisie quelconque. Elle avait une manière de vous regardez qui apaisait immédiatement votre coeur. Comme une sorte de beaume visuel qui diminue la douleur après s'être cassé un bras rien qu'en la regardant. Tout le monde l'aimait dans le village et la respectait. Ils sont mort tout les deux, de quel manière je l'ignore, mais pas de manière naturel, ni de la main d'humain. Mon père était assez fort pour braver a mains nue trois ours, il l'avait fait une fois pour défendre ma mère lorsqu'ils étaient de jeune adulte. La lettre de mon plus jeune frère était très évasive sur le sujet.

Il regarda le sol, réfléchissant subitement a la lettre de son frère, écrite en kanji a la va-vite!. Elle annonçaient la mort de leurs parents, des nouvelles du villages et de l'élection d'un nouveau chef qui avait chambouler le fonctionnement du village. Hanzo n'en avait pas fait de cas et avait considérer ceci comme un résumé plaintif d'un adolescent contre le changement de son mode de vie pour un meilleur. En résumé, il considérait les affaires du villages comme chose du passé et pas dans son avenir !

-J'ai quatre soeurs et trois frères, je suis le plus vieux des trois garçon, mais le troisième plus vieux des enfants. Je ne les ai pas vue depuis...très longtemps

Il ne dit rien d'autre, il préférait ne pas trop s'attarder sur le sujet et éviter de confier ses secrets de famille a une étrangère, une cliente en plus et dont il ignorait le prénom ! Encore là, il jugeait bon de ne pas le lui demandé, il le ferait un jour. Il regarda sa montre et fronça les sourcils, il restai trois heures avant le levé du soleil.

-je crois mademoiselle que nous devrons mettre un terme a cette conversation, pas que cela me déplaît, mais il vous reste peu de temps avant de rentrer chez vous et je n'ai nul envie que vous preniez un coup de soleil, mais juste avant, j'aimerais vous offrir ceci .

Il fouilla sous le comptoir et entre son pouce et son index il tenait un billet avec écrit dessus Special TKO et un autre placer dans un plastique avec un cordon en tissu bleu. Il y avait le même texte dessus, mais en arrière il y avait la notice VIP.

-J'ai gagner ça quand je suis aller au TKO de Dallas au Texas et j'aimerais vous l'offrir, je l'ai en double. J' y serais dans trois jours et j'aimerais bien que vous revoir la-bas.

Il évita de dire comment il avait gagné ces passes VIP et les billets, ni la teneur de ce special TKO. Mais avec une petite recherche internet, Florence saurait que le TKO était un style de lutte très populaire mélangeant boxe et art martiaux. Et que c'était très violent comme sport de compétition !

(tu peux clore le rp, si tu es d'accord je vais commencer le prochain^^ confirme le moi par mp stp )

Je trouvais cette histoire un peu triste. Pour moi la famille était devenue ce qu'il y a de plus important. Il faut dire que ça faisait longtemps que je n'avais plus de famille. Alors j'ignorais si ça aurais vraiment durée.

- Oui vous avez raison je devrais y aller.

Je pris la passe qu'il me tendait.

- Merci! Il me fera plaisir de venir. Et de vous revoir. Ah! Et au fait je me nomme Florence.

Je lui sourie et sortis de la boutique.

Le ciel commençait a s'éclairé trop faiblement pour qu'un humain le remarque, mais tout de même. J'appela mon mordu préféré et lui donna rendez-vous 15 minutes plus tard.

Phillipe arriva en pyjamas l'air endormis.

- Visiblement tu n'as même pas pris le temps de te préparé. Mais bon ce soir je ne ferai pas la difficile.

Il pencha sa tête sur le côté le serra dans mes bras, puis dans sa chair. Le délicieux liquide commença à coulé dans ma gorge. Je me détendis immédiatement.

- Merci! On se voit demain soir ok? Je te réserve ma nuit alors soit préparé et dors bien!

Je l'embrassa rapidement puis partis.

Lorsque j'arriva chez moiil me restait 30 minutes avant le lever du soleil. J'alla donc sur mon ordinateur et fis les réservation pour mes billets de vol chez anubis air et l'hotel. J'en profitais pour faire des recherche sur TKO. Ce n'.était pas mon genre mais c'étais sur qu'il y aurait beaucoup de testostérone dans l'air ambiente et donc ce serait un parfait terrain de chasse.

J'alla me coucher d'avance cette nuit, en pensant à l'étrange nuit que j'avais passé.