Hanzo était allongé sur un rocher, dans les bois. Pas bien loin d'un petit chemin pour rejoindre la route qu'utilise les randonneurs, mais juste assez loin pour ne pas entendre les bruits de la ville. Il regardait les étoiles en sirotant de la bière et fumant un petit joint de cannabis qu'il avait préparer dans la journée. A sa droite il y avait une glacière rempli de bière qui pataugeait dans des morceaux de glaces et juste a coté il y en avait une autre qui contenait de la nourriture. Des sandwichs aux jambons, aux poulets ou aux salamis enrouler dans des emballages en plastique individuel.

Les effets de la drogue et l'alcool commençait a faire effet depuis longtemps puisqu'il était d'une tranquillité morbide. Le genre de tranquillité qui provoque un sursaut lorsqu'il bouge !. Et avec l'alcool, le moindre mouvement de ses yeux fessaient danser les étoiles une bonne dizaine de fois avant que tout redevienne a la normal !. Il avait passé la journée a travailler dans sa boutique, servir les clients, les conseillers ou les renseigner sur quel produit érotique qui leur conviendrait ou a passer des commandes pour ceux qui désirait quelque chose qu'il n'avait dans sa boutique ni en stock présentement. Il était finalement rentré vers 17h, juste a temps pour prendre un repas rapide, nourrir son husky et jouer avec quinze minutes avant de regarder la télévision. mais les canaux ne proposaient rien d’intéressant ce soir, il avait alors décider de ce faire un petit plaisir en fumant un peu de cannabis. Et pour ne pas nuire a la santé de son chien, il avait décidé de fumée dehors. Mais dehors sur sa terrasse ce n'était pas plus intéressant, alors il s'était préparé deux glacière, l'une rempli de bière et l'autre de nourriture, car il avait toujours faim après avoir fumé. Et Hanzo avait la réputation d'avoir un appétit d'ogre, ce qu'il ne démentait jamais !.

Mais malheureusement ou heureusement pour lui, les effets du cannabis ne durait jamais longtemps avec lui. Si pour certain cela durait des heures, pour c'était a peine vingt minutes. Peut-être était-ce a cause de sa capacité a guérir rapidement qui éliminait les toxines apporter part l'herbe qu'il fumait ou alors sa condition physiques hors norme qui le rendait difficile a droguer. C'était pratiquement pareil pour l'alcool, ce qui le poussait a consommer des litres. Il était capable de boire quarante litres de bière et être encore debout pour en boire quarante autres !. Le temps passait, les bouteilles se vidait peu a peu et le cannabis avait été tous fumée. Il serait resté la a fixer le ciel jusqu'au levé du soleil s'il n'aurait pas entendu des bruits suspect dans les bois. Des bruits de pas, des branches qui se casse sous les pas d'humains, des chuchotements a propos de proie, de religion et de vampire. Hanzo soupira d'ennuie a l'idée de ce qu'il allait arrivé et décida d'aller voir. A peine s'était-il lever qu'il entendit un crie de peur, suivit d'un autre beaucoup plus masculin qui disait: on l'a eut !.

Il pressa le pas, suivit l'odeur des humains. Il pouvait sentir l'odeur de poudre a canon, de bois taillé et de l'argent. Il passa entre les arbres sans difficulté, aucune branches ne déchirait ses vêtements ou lui griffaient le visage, car elles se pliait sur son passage, les tronc d'arbre se penchant légèrement sur le coté pour facilité son trajet. Il était, malgré lui, une sorte de gardien de la nature, un vestige d'une ancienne époque et les arbres, dont la mémoire étaient aussi longue que celle de la terre, avaient assez de respect pour lui laissé le passage sachant qu'ils seraient aidé et protéger s'ils accordaient son aide au kitsune en échange. Il arriva finalement dans un endroit plus dégagé, là, il trouva dix hommes armé de fusil de chasse modifié, habiller en chasseur et ayant une paire de grosse chaîne en argent passé sur les épaules. Ils étaient placé en cercle éparpillé autour de quelque chose. Hanzo put voir des cheveux bruns, une fine silhouette sur le sol. Une femme y était allongé, comme paralysé part quelque chose de lourd, incapable de bouger ou de parler. Il put voir la peur dans les yeux de la jeune femme et le ravissement dans ceux des chasseurs, certain souriait de manière étrange en regardant la pauvre jeune femme. Le japonais ne préférait pas penser a ce que ces hommes avaient en tête, même s'il se doutait bien que sa n'avait rien d'agréable pour leur victime !. Il sortit des bois et deux hommes le virent arrivé, puis tous les autres tournèrent la tête ou les yeux vers lui. Chacun était sur leur garde, comme indécis sur la marche a suivre a présent.

-dégage connard, déclara l'un des chasseurs et les autres aprouvèrent dans des ''ouais''. c'est pas tes affaires ça !

-wow, lacha Hanzo d'un faux air surpris, vous dérangez ma quiétude pour votre partie de chasse et apparement de viol et c'est moi qui devrait partir. Vos fusil vaut rien avec moi, je suis pas un vampire, alors vos balle en bois fouté vous les dans le cul !.

Le plus proche chasseur avanca vers Hanzo et tenta de lui donner un coup de crosse avec son fusil de chasse, mais Hanzo l'évita facilement et répliqua d'une droite au visage qui l'envoya au sol. L'homme tenta de se relever, mais s'écroula finalement et ne bougea plus. Aussitôt au sol les autres chasseurs pointèrent leurs armes sur Hanzo, mais personne ne tira. Leurs but étaient de chasser et tuer des vampires, mais pas des humains !.

-vous n'auriez pas dut faire ca, dit-il en souriant d'un air triomphant.

Soudain les arbre grincèrent, les plus broches plièrent leur lourd corps vers les humains et leurs branches furent soudains animé d'une vigueur hors du comment. Comme des tentacules, elles agrippèrent les armes, les bras ou les jambes des chasseurs et les soulevèrent du sol sans difficulté. Les hurlements de surprise et de terreur se mélangeaient a des supplices alors que Hanzo passait sous eux pour aller libérer la jeune femme. Il put la voir de plus près et la trouvait très belle, il se félicitait même de l'avoir sauver. Il lui retira les chaines en argent qu'elle avait au poignet et sur le cou qui la clouait au sol. Il lui saisie la main et l'aida a se relever.

-vous allez bien ?, demanda-t-il avec léger sourire, je m'appelle Hanzo.

Soudain l'un des chasseurs réussit a se défaire de la solide prise d'une branche d'arbre et tomba au sol lourdement avant de se relever. Il tenta de fuir, mais il fut clouer au sol part les racines d'un arbre qui jaillirent du sol comme les affreuses pattes d'une araignée. L'homme ne bougea plus lorsqu'une des racines serra son cou de peur qu'elle le brise. Alors Hanzo décida de les rassurer.

-Cesser de paniquer messieurs, vous mourrez pas de ma main, ni de ceux des arbres ce soir.... part contre je ne garanti pas votre sécurité face au courroux de cette charmante, il se tourna vers la jeune femme...bon sang vous êtes belle, puis il retourna son attention sur les chasseurs, de cette demoiselle. Contenter vous d'un gibier a votre niveau, le rat part exemple. Dans une heure vous serez libérer, sa vous laisse le temps de réfléchir sur un nouveau plan de carrière...enfin si la belle, il se tourna vers elle, vous avez un petit copain ? ou dîner ?, il regarda les chasseurs, ne vous a pas tuer d'ici là !.

Il marcha jusqu'à un fusil qui était tomber des mains d'un des chasseurs. L'arme était de bonne qualité, a double canon et charger de cartouche en bois au bout pointu. D'une simple pression, Hanzo plia le canon en deux, puis fracassa l'arme sur un rocher, la brisant en morceaux. Il fit la même chose avec chaque fusil, certaine branche des arbres laissèrent tombé les fusils qu'ils avaient arraché des mains des humains pour que Hanzo continue son travail. Certain chasseur lui lancaient des injures, le menacait de toute sorte de manière, mais le japonais les ignora, il en riait même !.

La nuit était vraiment belle, je venais de m’aventurer dans la foret. A cet heur la il n’y avait personne logiquement. Je marchais depuis environ cinq minutes quand j’entendais des battement de cœur, cela me mit l’eau a la bouche. Je marchais en direction des battement quand des chasseurs on déboulés de nul par, sans que j’ai eu le temps de comprendre se qui ce passais ils me clouèrent au sol avec une chaîne en argent.

Comme je venais d’enlever ma veste la chaîne était en contacte avec ma peau je hurlais sous la douleur. Je ne pouvais plus bougé, j’étais vraiment à leur merci. Quand je me rendis compte que ma douleur les mettait en joie je fit comme si je n’avais pas mal. Ce qu’il y a de bien à être vampire c’est que nous n’avons aucun mal a caché nos émotions. Mon visage ne montrait pas la grand souffrance que j’éprouvais, je m’étais littéralement figé se qui les rendis fou de rage. Un des chasseurs s’approcha de moi pour me rajouter des chaînes sur les chevilles. J’étais totalement terrifier, affronter la mort ultime comme ça, dans la forêt de la main d’un chasseur et seul en plus.

Je regardais autour de moi et vit qu’ils étaient bien préparés. Fusil armé de bal en bois, pieux et chaîne. J’étais tombé dans ce piége idiot. Je pensais a tout se que je n’avais pas eu le temps de découvrir, de faire. Je ferma les yeux pour ne pas vois le pieux se rapprocher de ma poitrine.
Quand j’entendis un nouveau battement de cœur. Une nouvelle personne sortit des bois, j’entendis un des chasseurs parler.
-dégage connard, les autres approuvèrent dans des ''ouais''. C’est pas tes affaires ça !

J’ouvris les yeux, on pouvais y distingué une lueur d’espoir, j’avais un peut de mal a tourné la tête pour voire se qui ce passais a cause de la chaîne qui était sur mon coup.
-wow, lâcha le nouvel arrivant, vous dérangez ma quiétude pour votre partie de chasse et apparemment de viol et c'est moi qui devrais partir. Vos fusil vaut rien avec moi, je suis pas un vampire, alors vos balle en bois futé vous les dans le cul !.

Je ne pouvais pas retenir mon sourire ainsi que mon soupire de soulagement, a parement ce n’étais pas ce soir que je verrais la mort ultime et cela me convenais tout a fait. Mais je serais totalement rassuré quand je serais totalement hors de danger. Je pouvais entendre la bagarre qui se déroulais juste a coter de moi, j’essayais de me défaire de mes chaîne pour allez aider cette inconnu mais il n’y avais rien a faire j’étais littéralement cloué au sol. Quand j’entendis soudain les arbres grincés, je me demandais ce qui ce passait. Le jeun inconnu s’approcha de moi et me regarda une cour instante avant de me libérer de mes liens. Je poussai un petit cri quand il arracha les chaînes. Du au manque de sang ma peau était partis avec et ce n’était pas vraiment très jolie a voir, j’avais même un peut honte.

-vous allez bien ?, me demanda-t-il avec léger sourire, je m'appelle Hanzo.

Je me redressai en faisant une petite grimace sous la douleur, je me tourna vers lui et lui adressa un large sourire. Il était vraiment beau, son sourire était si sexy.

Oui, oui ça va.

Puis l'un des chasseurs réussit à se défaire de la solide prise d'une branche d'arbre et tomba au sol lourdement avant de se relever. Il tenta de fuir, mais il fut clouer au sol part les racines d'un arbre qui jaillirent du sol comme les affreuses pattes d'une araignée. L'homme ne bougea plus lorsqu'une des racines serra son cou de peur qu'elle le brise. Alors Hanzo décida de les rassurer. Je releva la tête et vit le chantier qu’il avait mis, je me demandais comment cela pouvait être possible. Mais il m’avais sauvé la vie je ne voulais pas l’harceler de questions. Je ne pouvais caché mon soulagement puis le beau Hanzo décida de rassurer les chasseurs.

[/i]-Cesser de paniquer messieurs, vous mourrez pas de ma main, ni de ceux des arbres ce soir.... part contre je ne garanti pas votre sécurité face au courroux de cette charmante, il se tourna vers la jeune femme...[b]bon sang vous êtes belle, puis il retourna son attention sur les chasseurs, de cette demoiselle. Contenter vous d'un gibier à votre niveau, le rat part exemple. Dans une heure vous serez libérer, sa vous laisse le temps de réfléchir sur un nouveau plan de carrière...enfin si la belle, il se tourna vers elle, vous avez un petit copain ? Ou dîner ?, il regarda les chasseurs, ne vous a pas tuer d'ici là !.[/i]

Je lui souris de ses compliments, lui aussi était vraiment beau et de se que j’en avais déduit il n’avait rien contre les vampires ce qui était bénéfique pour moi. Les tuer c’était vraiment tentent mais mon créateur ne m’avais pas apprit a agir comme cela. Même si les humains étaient méchants, ne pensais qu’a eux ils ne méritaient pas qu’on les massacres. De plus je ne voulais pas leurs donner raison. Tous les vampire n’étaient pas comme moi, la plus part n’aurais pas hésiter une seconde a tous les tuer.

Non, je n'ai pas de copain, ni diner !!

Je lui sourit puis reprit mon sérieux, il faut dire que c'était difficile de garder son sérieux quand on a un aussi beau mec a coter de sois.

Non,je veux leurs prouver que nous les vampires on ne massacre pas d’autre espèces pour le plaisir, même si c’est pas l’envie qui me manque.

Je m’approcha du chasseur qui était clouer au sol, je me pencha sur lui les crocs sortit et lui chuchota a l’œil.

-Mais si toi et tes amies vous, vous approcher encore de moi je ne serais pas aussi gentil avec vous. C’est d’accore ?

Il hocha la tête. Je sentais son cœur battre à toute vitesse, ce qui me donnait encore plus faim mais je savais me retenir. Je me retourna vers le beau Hanzo et lui dit le sourire aux lèvres.

Merci de m’avoir aider.

Les blessures causer par les chaînes mettaient un temps fou a cicatriser du au manque de sang. Il fallais que je trouve un humains sur qui me nourrir, car je souffrais le martyr et je trouvais cela très gênant qu’on me vois comme ça. Mais j’avais un peut de mal a me déplacer.Je m’installa sur un grosse pierre qui était juste a coter de moi histoire de reprendre quelque force avant d’aller chasser. Je regarder Hanzo en me posant tout un ta de question. Comment avait-il fait pour faire bouger les arbres, pourquoi m’avait-il aider etc.

Hanzo attrapa le dernier fusil, ignorant les dizaines d'insultes que les chasseurs lui proféraient. Sa main tint le canon fermement et d'une solide torsion qui tendit les muscles de son bras, il plia le métal de sorte de rendre l'arme inutilisable. Puis comme avec les autres, il la fracassa contre un rocher, brisant en morceau la crosse et les pièces de métal qui constituait l'arme. la belle vampire brune décida de ne pas tuer les humains, ce qui surprit et fit plaisir au japonais. Il était surpris car, il avait rarement trouvé des vampires capables de démontrer un peu d'humanité qu'ils pensaient avoir perdu en étant devenu immortel. Il détestait l'idée que les vampires se pensaient différents, une race a part avec ses loi interne, ses coutumes et tout le reste. Mais il n'avait jamais été tenté devenir comme eux, il aimait trop vivre au grand jour pour troquer cela pour les étoiles et la lune, alors qu'il pouvait profiter des deux sans aucune contraintes !. Il voyait les vampires comme des humains pourri gâté, pour ceux qui succombait a leur désirs macabre du moins. Des êtres aux pensée encore plus humaines que de leur vivant, mais avec les moments de réalisé leur désirs, de combler leur caprice et de succombé a leurs sombre pensé. Des imbéciles qui n'ont aucune idée du don qu'ils ont, c'était la formule la plus courte pour définir l'opinion de Hanzo face a cette vision des choses !.

Mais il était également heureux car cette femme contredisait complètement sa vision, mais pour combien de temps encore ?. Dans combien d'année restera-t-elle encore sensible au sort des humains ?, quand décidera-t-elle de pensée qu'a elle et ses désirs au mépris de ceux de ses proies ?. Deviendra-t-elle un exemple pour son espèce ou alors un être froid, dénuer d'émotions comme la compassion ou la clémence, qui tue sans remord ses proies ?. Le japonais se posait ces question avec un oeil inquiet en regardant la jeune femme s'asseoir sur un rocher plus loin, il remarqua alors ses blessures et le fait qu'elles ne guérissaient pas immédiatement. Elle lui avait dit qu'elle n'avait pas encore dîner. Un dilemme se forma dans sa tête entre toute les questions qu'il se posait a son sujet, devait-t-il lui offrir un de ses humains percher a deux mètres au dessus de sa tête, tel des fruits d'un arbre prêt a être cueillit, ou alors lui présenter son propre cou ou son poignet pour qu'elle puisse ses forces dans les siennes a travers son sang. Mais dans ce cas, il y a avait un risque que le goût de son sang soit mauvais au goût pour elle ou alors savoureux, mais dans les deux cas il serait assez intense a cause de son grand âge. Il risquait aussi de la vexer ou l'insulter en lui proposant son sang, elle avait peut-être des principes avec les inconnue ou ceux qui l'aidait !.

* bon sang...c'est inutilement compliqué d'être un vampire !* pensa-t-il en s’avançant vers elle.

Il passait au dessus d'un chasseur lorsque quelque chose tomba derrière lui. Il se retourna lentement, pensant que se devait être le porte-feuille du type, un couteau de poche ou une lampe torche. Mais a la place, il trouva un petit flacon rempli d'un liquide rouge. Il le ramassa et l'ouvrit, a peine avait-il humer le liquide que les fragrances de sang vampiriques envahirent ses narines. Il avait crue que s'était une sorte d'appât rempli de sang animal ou humain afin d'attirer des vampires dans les bois. La branche qui tenait le propriétaire du flacon descendit lentement en grinçant légèrement sous la volonté de Hanzo. Ce dernier fut face a face avec le chasseur et lui montra le flacon de V, ce dernier blêmit en imaginant ce qui l'attendait. La première réaction du japonais aurait été de divulguer ce petit secret a la jeune femme, mais a la place une autre idée lui vint a l'esprit. Il attrapa l'humain part le colet alors que les branches se libéraient du poids de l'homme et l'approcha de son visage afin de parler assez bas pour que lui seul soit en mesure d'entendre ce qu'il allait dire.

-écoute moi bien connard, si tu tiens a ta misérable vie de saigneur, tu vas faire don de ton sang a cette dame, sinon je lui montre comment tu gagne ta pitance. Tu as pris le sang d'un vampire, alors tu fait don du tien !.

L'homme hésita, mais en voyant le flacon, les arbres se balancer de gauche a droite au gré de la brise nocturne qui passait entre eux et la démonstration de force que fessait le japonais, il accepta finalement l'offre en hochant positivement de la tête.

-et si tu lui fais du mal..c'est moi qui vais te tuer...

Il ignorait pourquoi il avait dit ça. Il ne devait rien a cette femme, mais il ne lui souhait pas du mal non plus. Il poussa l'homme en direction de la belle brune et l'homme tomba a genou devant elle, commençant a enlever sa veste et sa chemise.

-Au vue du petit calvaire que vous avez endurer a cause de ses copains, ce gentleman a décider de faire un don d'un peu de son sang pour que vous puissiez vous restaurez et en même temps vous soignez ! Je vous laisse avec lui, moi je retourne a mon petit campement., si vous voulez avoir un peu de compagnie ce soir après avoir dîner marcher vers le nord en partant entre ses deux arbres, vous me trouverez.

Il lui sourit avant de jeté un regard froid au chasseur qui semblait recroqueviller sur lui même un instant. Le japonais salua la jeune femme, puis s'en retourna là ou il avait laissé sa bière, son cannabis et sa nourriture. D'ailleurs il commençait lui aussi a avoir faim et dévora, une fois arrivé, trois sandwich, trois bières et six petits gâteaux au chocolat fourrer a la confiture de fraise.

J’étais un peut fatigué avec ce qui venais de m’arriver j’avais perdue pas mal de sang du aux chaînes en argent. Je m’étais assise sur un rocher et regarda le bel asiatique. Je me demandais comment il arrivait à faire ça ? Comment les arbres lui obéissaient il ? Lui aussi était il différent ?. Je le regardais avec admiration. Pourquoi m’avait il sauver de ses chasseurs ? Beaucoup de question se bousculait dans ma tête à propos de cet inconnu. Il avait semblé ravi que je ne veuille pas tuer ses chasseurs, je souriais. Mon créateur m’avais toujours appris a ne pas tuer les humains je pouvais très bien me nourrie d’eux sans pour autant leurs enlever la vie. C’est un principe que je conte bien appliquer toutes les nuits.


Je le regarder parler aux chasseurs de la ou j’étais je ne pouvais pas entendre ses qu’ils se disaient et vu que j’étais en manque de sang mes donc étaient un peut limiter si je tenais encore debout cela relèverais du miracle. Hanzo me ramena le chasseur en me disent
-Au vue du petit calvaire que vous avez endurer a cause de ses copains, ce gentleman a décider de faire un don d'un peu de son sang pour que vous puissiez vous restaurez et en même temps vous soignez ! Je vous laisse avec lui, moi je retourne a mon petit campement. Si vous voulez avoir un peu de compagnie ce soir après avoir dîner marcher vers le nord en partant entre ses deux arbres, vous me trouverez.
Je lui souris mon ventre criait vraiment famine et je commençais a en avoir marre que mes blessures ne cicatrise pas.

Merci !

Je lui souris puis le regarda partir, le chasseurs était terrifier je le sentais a sont rythme cardiaque très élevé. Mes crocs sortirent et je me pencha vers son coup et commença a pomper. Sont sang n’étais mon groupe préféré mais cela me suffirais amplement. Je sentais mes forces revenir au fur et a mesure. Mes plais étaient pratiquement toutes refermés. Je sentais également sont poux faiblir je me retira et lui appliqua un peut de mon sans sur la trace de mes crocs pour que ses plais ses referme. Je me sentais revivre, je n’avais plus mal c’était comme si il ne c’était rien passer. Je levas la tête et vit les chasseurs accroché dans les arbres, je me mis a rire ils avaient l’aire vraiment ridicules.

C’est le sourire aux lèvres que je décida d’aller retrouver le bel asiatique, je prit le chemin qu’il m’avais indiqué il y a quelque minutes de cela. Je ne me pressais pas la nuis ne faisait que commencer. Quand j’arrivais a sont campement je regarda autour de moi en souriant. Il avait tout prévue, les petites glacières une pour la bière et l’autre pour la nourriture. Je ne pu m’empêcher de sourire quand je sentit l’odeur du cannabis. J’avançais pour allez a sa rencontre. Je voulais vraiment en savoir plus sur lui sans pour autant être trop chiante. Je m’approchai de lui sans faire de bruit. Je m’installa à coter en souriant.

Je voulais vous remercier de m’avoir sauvé la vie ! Mais pourquoi avez-vous fait ça ? non pas que cela me déplaise mais c'est que c'est la première fois que je rencontre une personne qui ne déteste pas les vampires. Alors j'aimerais juste comprendre.

C’étais la première personne que je rencontré qui n’avait rien contre les vampires, enfin je n’en sais rien après tout mais bon il m’avais sauver la vie deux fois en quelque sorte je suppose que le chasseur n’a pas décider de sont plein gré de me donner sont sang. Je lui souriais. Et je venais de réaliser que je ne m’étais même pas présenté.

A et moi je m'appel Mélinda !

La nuit était vraiment belle ce soir, le ciel était dégagé. Là ou Hanzo avait établie sont campement nous avions une belle vue des étoiles et de la lune. Ha le soleil me manquais tant, de ne plus sentir sa chaleur me réchauffer le visage, ne plus avoirs un jolie teint bronzé je pence que je ne comblerais jamais ce manque.

Hanzo avait repris sa place sur son rocher, ce dernier n'était pas dénuer de tout confort ou humide, fissurer ou sec et coupant. Il était recouvert d'une mousse épaisse et légèrement humide, mais pas assez pour se retrouver le dos ou le derrière tout tremper pour ensuite trembler de froid. Grace a ses pouvoirs, Hanzo avait stimuler la croissance de la mousse déjà présente et l'avait aider a recouvrir le rocher, ainsi qu'a gagner en épaisseur afin que la dureté du rocher soit amoindrit lorsque le kitsune s’installerait dessus. Il fumait un petit joint de cannabis après avoir terminé de manger.

Il commençait a faire d'épais petit tourbillon de fumée lorsque la jeune femme qu'il avait sauvé arriva. Elle était arrivé avec toute la discretion que pouvait lui attribuer les capacités de son espèces a son age, il en déduit qu'elle était jeune car il l'avait entendu arrivé a trente mètre de distance de son campement. Il ne dit et ce fut elle qui engagea la conversation après s'être installer sur le même rocher du japonais. Elle lui demandait pourquoi il l'avait aider, ce qui le fit sourire un peu. Il souffla un peu de fumée avant de répondre en tendant le join a la jeune femme pour qu'elle profite de son cannabis si elle en voulait.

-je vous ait sauver parce que c'était la chose la plus juste a faire sur le moment. Peu importe vos antécédents, vos origines, votre façon de parler, bouger ou même de penser, personne ne devrait finir de vivre ainsi. Attacher, incapable de bouger, de se défendre, alors que la mort viens vous fauchez part l'intermédiaire d'un chasseur amateur qui sens la sueur rance et l'alcool de mauvaise qualité. Il n'y a aucun honneur, ni aucun respect, ni gratification d'agir ainsi ou de mourir de la sorte !

Il étira son bras afin de saisir sa bière, en but une gorgée puis la posa sur son ventre tout en la tenant avec sa main pour ne pas qu'elle tombe et continua de parler.

- et je n'ai aucun haine envers les vampires, ni aucun amour ou admiration pour autant, c'est la même chose pour les humains. Humain...vampire...pour moi vous êtes pareils. Violent, égoïste, cupide, séducteur, fonceur, courageux, fier, haineux, impulsif. Comme pour les humains, je déteste certain individu, mais pas toute leur espèces et c'est la même chose chez les vampires. Les actes d'une personne ne représentent pas la manière d'être de ses paires !.

Elle se présenta juste après. Mélinda, prénom agréable a prononcer et Hanzo trouvait également que la jeune femme était agréable a regarder. Il détourna son regard de Mélinda avant que qu'il ne commence a la déshabiller des yeux et ait un gros problème d'embarra sous la ceinture !. Il ne lui offrit rien a boire ou a manger, sachant qu'elle avait déjà dîner, il pouvait sentir les effluves du sang frais dans la faible haleine de la jeune femme, étrangement il trouvait cela excitant. Il ne pouvait donc pas lui proposer de la bière, des sandwich ou des petits gâteaux a cause de sa condition de vampire. Il n'avait jamais sut ce que cela fessait a un vampire de consommer de la nourriture humaine, peut-être que c'était douloureux, mortel ou alors impossible a cause de l'inactivité des organes internes, l’absence d'acide gastrique dans l'estomac. Ce petit détail dérangeait Hanzo, car il se trouvait impolie dans ce genre de cas et doublement dans le cas présent puisqu'il n'avait aucune bouteille de true blood avec lui. Il n'avait pas prévu de rencontrer de vampire cette nuit non plus, alors sa culpabilité était grandement amoindrie !.

-Vous êtes a Bon Temps depuis longtemps ou vous êtes juste de passage ?. demanda-t-il avec un fin sourire avant de boire une gorgée de bière.

Je suivais Hanzo. La nuit était noir mais j’arrivais a tenir la cadence. Quand j’arriva la rivière il était déjà là. Je souriait et resta là a regarder l’eau. Elle était calme, le reflet de la lune se reflétait sur le dessus de l’eau, c’était un très beau spectacle. Puis Hanzo reprit la discussion.

Ne vous laissez pas avoir par cette haine des vampires dans le coin, car ce n'est pas de la haine, mais de la peur. La peur de l'inconnue fait toujours agir l'humain de manière stupide et irréfléchie.

Je le regardais en souriant, il n’avais pas tore mais quand il s’en prenaient a moi j’avais plutôt l’impression du contraire. Je le regardais en souriant, quand il retira ses vêtement, je me retourna pour ne pas le mètre mal a l’aise. Sans remarquer que je m’étais tourné il ajouta :

Prouvez leurs le contraire en restant ici et puis, s'il le faut je vous aiderais a vous défendre!.
Je souris, il est vrai que niveau défense je n’étais vraiment mais alors vraiment pas au point. J’avais bon être un vampire je ne savais pas me battre n’y me déplacer aussi vite que tout le monde j’était vraiment une vampire pitoyable. Je l’entendis plonger dans la rivière. Je me retourna et lui sourit avant de répondre.

Hou je ne dit pas non ! Je suis nul en auto défense mais je pense que tu a du le remarquer non.

Je lui souris puis alla derrière un petit buisson qui se trouvait a coter de moi. Je me déshabilla et fila dans l’eau. Elle était pour moi a bonne température ni trop froide ni trop chaude juste parfaite. Je remonta la tête à la surface et me dirigea vers Hanzo. Cet homme m’intriguait beaucoup. Je le regardais le sourire aux lèvres Je ne connaissais pas bien les autres espèces, les créatures de l’ombre. A ce jour je n’avais jamais vue une personne faire ça, contrôler les arbres comme il l’avait fait. J’étais vraiment inexpérimenté sur ce coup là. Là je voyais l’inconvénient d’avoir perdu mon créateur aussi jeune. Il n’avait pas eu e temps de tout m’enseigner ce qui me mettais quasiment tout le temps dans le pétrin.

Puis-je vous poser une question qui me trotte dans le tête depuis un moment déjà ?


Je lui souriais, un léger vent venait de se lever, c’était très agréable. Le vent caressais ma peau froide et mouiller ce qui me donna un léger frison qui me parcourais tout le corps. J’aimé bien cette sensation.

L'eau de la rivière était plus tiède que l'aurait pensé le kitsune, mais pas au point d'être désagréable. La jeune femme avait profité du plongeon dans l'eau de Hanzo pour retirer ses vêtements et le rejoindre. Il la regarda s'approcher, ne pouvant s'empêcher d'imaginer dans sa tête qu'elle était nue. L'eau froide ne réussit pas a empêcher la petite douleur qu'il ressentit lorsque son jean vue légèrement tendu au niveau de l'entre-jambe. Les penser érotiques se succédaient rapidement, au point que Hanzo ne pensait plus a reprendre le contrôle de ses émotions. Puis la jeune femme lui parla, chassant immédiatement ses idées et lui permettant de reprendre son état d'esprit normal, heureusement pour lui cet état d'excitation n'avait duré que quelques secondes. La tension dans l'entre-jambe le quitta peu a peu a mesure que le temps passait.

Elle avait accepté qu'il lui enseigne quelque technique d'auto-défense. Il devait alors réfléchir a un moyen de l’entraîner, choisir les horaires et marqué le tout dans son agenda afin de ne pas perdre du temps de sommeil ainsi que de délégué plus d'heure de travail a son employé humaine. Il devrait peut-être aussi embauché quelqu'un d'autre, trois personnes seraient idéal et divisé en équipe de deux. Une de nuit et une de jour, il aurait ainsi du temps pour former Melinda et avoir dormir.

-une question ?, juste une ?, dit-il avec un sourire moqueur, j'en aurait bien plus si quelqu'un avec mes talents et moi a votre place m'aurait sauvé la vie ainsi !. Mais allez-y posé votre question, peut-être que j'y répondrais .

Il avait déjà une idée de la question, c'était souvent la même a chaque fois. La forme changeait, mais la réponse désiré était la même. Qu'est-ce que vous êtes ?, qui êtes-vous ?, d'ou venez-vous ?, Comment vous avez fait ça ?!! . C'était des questions tout a fait justifiable pour Hanzo, après tout son espèce était rare et très secrète, mais très curieuse en même temps !. Ils étaient passé maître dans l'art de la métamorphose, un don inné qui était cultivé dès l'enfance sans compter les autres talents naturel chez eux. Ainsi passé d'une forme animal ou humaine était comme mettre des vêtements pour un humain. Certain passait une partie de leur vie dans la nature puis changeait pour une vie urbaine, d'autre faisaient le contraire. Ajouté a cella une espérance de vie plusieurs fois centenaire, un esprit vif et rusé, une grande intelligence et un sens du jeu très présent. Il était très difficile de dupé un kitsune, voir impossible !. Mais, aucun n'avait le don de prescience, impossible pour eux de prévoir l'avenir, aucun ne le pouvait. Trop de variable, trop de route différente. C'est pourquoi, Hanzo préféra ne pas faire trop de prédiction sur la question de Mélinda, mais il avait quand même l'arrière pensé que d'autre viendrait, c'était naturel a ses yeux.

-moi aussi j'en ai une question pour vous, dit-il avec un léger sourire, vous proposez souvent des bains de minuit a des étrangers ou suis-je l'exception ?.

Hanzo se laissa flotter sur le dos tandis que Melinda lui parlait. Elle était curieuse et voulait connaitre les secrets les plus faciles a atteindre du kitsune, mais qui en réalité était les plus dur a percer. Le savoir c'est le pouvoir, ce dicton marquer dans l'esprit du jeune homme au fer rouge lui revenait souvent en tête quand il discutait avec des inconnus. Avoir de l'instruction, connaitre les préférences des gens, leurs attentes et part le fait même, leur faiblesse, était un avantage que les plus intelligents s'empressaient d’acquérir et de l'utiliser, en bien ou en mal. C'est pour cela que Hanzo ne dévoila jamais son identité complète aux gens, surtout en cette période de trouble depuis que les vampires s'étaient exposer sur la place publique. Les humains se méfiaient de ce qu'ils ne connaissaient pas et avec cette méfiance viens la peur, puis tout une série de scénario catastrophes, puis viens l'étique : Ennemie. L'inconnue effraie et fascine en même temps, qu'est-ce que c'est ?, est-ce hostile ?, puis-je y remédier ?. Des questions parmi tant d'autre qui ne trouve pas de réponse immédiate.

La panique serait énorme si l'humanité avait connaissance qu'elle n'était pas seul sur sa petite boule bleu. Mais il devait répondre a Mélinda, lui dire une demi-vérité ?, mentir ouvertement ou refuser de répondre ?. Elle était une vampire, le surnaturel ne devait pas l'effrayer ou peut-être que si, son espèce était si secrète et centrer en différent clan, sans être des crétins consanguin comme les chat noir de Hot Shot. Hanzo n'avait rien contre eux personnellement, mais il avait toujours mépriser ceux qui prône la ''pureté'' de leur race. Ces gens oubliaient a quel point l'univers était friand de diversité. Mais il s'égarait dans ses réflexions et était resté trop longtemps silencieux.

-Je fais comme les chats, dit-il avec un sourire en coin, je me frotte contre un arbre ou lui donne un gros calin et il devient mon ami.

Il se mit a rire, même s'il trouvait que sa blague était pas totalement drôle. Mais en même temps, ce genre de don qu'il avait, il ne pouvait pas l'expliquer totalement. Les arbres lui obéissaient parce qu'ils le voulaient ou bien parce qu'il leurs imposait sa volonté ?, peut-être était-ce un mélange des deux ou rien de cela. Plus il cherchait a comprendre les mécanismes profond de ses pouvoirs, moins il trouvait de réponse. C'était comme demander a un oiseau comment il fessait pour voler. Un scientifique dirait que c'est a cause des os creux que possède l'oiseau, des plumes qui donne une pousser a l'oiseau et qui lui permet de rester dans les airs. Dans ce cas, pourquoi la poule ne peux pas voler, alors qu'elle a des ailes et qu'elle est un oiseau ?. L'autre réponse viendrait du surnaturel, de la magie, la réponse facile a tout problème inexplicable sur le plan scientifique et trop simple pour Hanzo et en même temps très frustrante.

-L'expliquer prendrait trop de temps et viendrait a être contradictoire sur certain point, car je ne connais pas tout les réponses., dit-il sur un ton plus sérieux en fixant le ciel rempli d'étoile.

Il rit alors qu'elle retourne sa propre question d'avant contre lui. Cette demoiselle avait de la rhétorique et était plus intelligente que l'aurait crue Hanzo. Mais elle parle également de Florence, une femme que Hanzo connait bien pour avoir passer une nuit avec elle et avoir tisser des liens plus étroit avec elle par après. Mais il préféra garder cette information pour lui, il ignorait pourquoi et ne chercha pas a comprendre ce choix.

-Seulement quand elle est souriante, brune, charmante et qu'elle a un jolie derrière, dit-il avant de plonger et nager jusqu'à elle.

Voir sous l'eau n'était pas un problème pour lui, ni respirer. Ses yeux formèrent une mince couche protectrice transparent par dessus ses yeux alors que des fentes se formait au niveau de sa gorge. Il avala de l'eau et put respirer comme un poisson. Il distingua a une trentaine de mètre de lui la forme des jambes de Mélinda qui ondulait dans l'eau, il sourit et se mit a nager vers elle quand quelque chose de lourd et de fort le heurta au torse. La douleur vint aussitôt en même temps que la sensation de brûlure familière au coupure. Il regarda son ventre et vit une vilaine cicatrice, profonde et qui saignait abondamment. Il regarda autour de lui et vit en tournant la tête vers sa gauche une énorme gueule garnit de crocs qui se refermaient sur lui. L’instinct de survie prit le pas sur la peur et ses mains se saisirent de la mâchoire part le bout et un tour de force se fit entre la bête et le kitsune qui était entraîner vers le fond du lac. Son dos heurta plusieurs rocher que l'érosion et le temps avait rendu pointu et tranchant, son dos fut meurtri et le sang qui entoura Hanzo semblait excité l'animal qui se dégagea de la prise de sa proie pour disparaître dans les ténèbres du lac.

Hanzo ne voyait rien ici, comme s'il se trouvait dans une gigantesque bulle de pétrole. Il regardait autour de lui, mais il ne voyait même pas le bout de son nez. Il avait reconnu l'animal qui l'avait attaqué, un alligator d’Amérique. Il se savait en danger ici, la bête pouvait attaquer a tout moment, alors il pensa a Mélinda. Elle ignorait qu'un alligator rodait, il s'était peut-être attaquer a elle en se moment même !. Il ignora la douleur de l'effort et remonta le plus vite qu'il put jusqu'à la surface. En sortant, il crut qu'il allait mourir asphyxier et se rappela qu'il avait toujours des branchies. Il avala de l'eau et regarda autour de lui, il put voir Mélinda plus loin, hors de danger, mais toujours dans l'eau.

-Sort de l'eau !!, hurla-t-il, sort tout de suite !!..il y a un all..Arrgg!!

Quelque chose de fort, de puissant et de sauvage lui saisit le pied et l’entraîna au fond de l'eau a nouveau. Cette fois si l'exaspération et la colère de Hanzo était a son apogée, mais il ne pouvait rien faire d'autre sauf se laisser faire puisqu'il n'avait aucun équilibre, ni prise pour stopper le grand reptile. Alors qu'il pensait que la bête avait terminer, il fut prit de dans un tourbillon incessant et compris que la bête tentait de le noyer. Dehors les arbres grinçaient de peur et se penchait le plus possible sans ce casser vers le lac , espérant que leur plus longue branche servent au kitsune, mais il était trop loin pour en atteindre une seule. Le ciel était couvert, cachant les astres et devenaient de plus en plus noir et a gros a mesure que le temps passait. Plongeant le lac et la forêt dans le noir complet alors qu'une violente pluie tombaient suivit part le grondement du tonnerre et la brève lumière des éclairs qui rendait la situation encore plus inquiétante.

L'alligator continuait de tourner, rendant la respiration de Hanzo beaucoup plus ardu, mais pas impossible. Ce dernier avait, pour réduire les risque de fracture de son pied et de se le faire arracher, commencer a suivre le rythme du reptile tout en essayant d'atteindre sa gueule. La douleur commençait a devenir insupportable et la perte de sang commençait a l'affaiblir, réduisant ses possibilité de se libérer. Sa dernière idée et son seul espoir de s'en sortir lui vint alors a l'esprit. Il ferma les yeux et tenta de se concentrer, il lui fallait juste quelque seconde pour réussir son action. Alors il vit et sentit qu'il avait réussit la première étape de son plan en voyant qu'il avait de la fourrure blanche sur tout le corps, que sa vision était différente et que sa colonne vertébral s'était divisé a sa base en neuf long segment. Il était a présent sous sa forme originel, celle d'un renard blanc a neuf queues de la taille d'un loup. Son pied, devenue une patte a présent, était toujours coincé dans les puissantes mâchoire du reptile, mais plus pour longtemps. La gueule du renard s'ouvrit en direction de l'alligator et une lumière passant du jaune a l'orange sortir entre ses mâchoires. Un jet de flammes, transformer en vapeur brûlante a cause de l'eau, frappa de pleine fouet la tête du crocodile qui lâcha aussitôt prise, libérant de ce fait sa proie qui put remonter a la surface. En chemin, il vit une branche d'arbre qu'il saisit entre ses dents et fut aussitôt expulser de l'eau comme un bouchon de liège d'une bouteille de champagne. Hanzo tomba sur le rivage et lâcha un petit crie plaintif en touchant le sol, la douleur de ses blessures revenaient a la charge alors qu'il tentait de se relever. L'alligator le quêtait au loin, mais ne put tenter quoi que ce soit puisque les arbres les plus proche formaient une grille en dôme avec leur branches. Le reptile disparut dans les ombres du lac alors que le kitsune se relevait péniblement et avançaient en sautillant, la patte arrière gauche maintenu au dessus du sol. Il avait froid et la fatigue le gagnait a mesure qu'il se remettait de la flopée d'émotion qui lui traversait le corps. Il fit trois pas de plus avant de s’effondrer sur le côté en silant comme un chien blessé, mais luttait pour ne pas dormir, son instinct lui dictait de ne pas dormir, dormir signifiait la mort pour le moment !.